Bienvenu sur le Blog
ACCROMASTURBATION
Salut les sturbeurs,
J'espere que tout va bien pour vous et vos queue.
Le blog se porte toujours aussi bien et je sais que les fidèles aiment les sujets vrai.
Alors voilà, je vais déjà remercier Onaniste qui s'investi sur le blog.
Il a fait un texte, se pose des questions et expose son sujet.
N'hésitez pas à commenter en bas de l'article pour donner votre avis.
En même temps je rajoute les 3 photos qu'il m'a envoyés.
Je vous laisse le découvrir le début du texte, il nous envera la suite très bientôt.
" Malades de la sturbe.
1.
La masturbation a longtemps été considérée comme un vice moral, mais aussi et à la fois comme une maladie.
Une maladie sexuelle dont les effets sont trop délicieux à éprouver pour que nous y renoncions jamais ! Donc une « maladie » sexuelle que nous sommes trop heureux d’assumer parfaitement, et de vivre dans toute ses dimensions et intensément.
Une maladie sexuelle dont, paradoxalement, le traitement consiste précisément à la vivre. C’est à dire à satisfaire exhaustivement les envies et les besoins tyranniques qu’elle génère !
En pratique : oui, je suis un malade de la masturbation chronique et compulsive ; ce qu’on a longtemps appelé un « onaniste ». Mais le seul traitement de cette « maladie » consiste pour moi à m’y adonner entièrement et sans retenue !
Aussi, mon plaisir de masturbateur est-il lié au sentiment, né de ma désignation comme « malade », que ma pratique masturbatoire est l’effet d’une « maladie ».
Une maladie dont les effets sont un besoin incoercible du plaisir sexuel apporté par la masturbation. Une sorte d’addiction : et ce n’est pas étonnant que nombre d’entre nous se définissent comme « victimes » d’une addiction. Précision importante : il s’agit ici d’une addiction dont la satisfaction ne cause aucun dommage à l’intégrité physique de l’addict !
L’un de mes nombreux fantasmes de branleur est celui d’une « Clinique du Branleur », d’un lieu d’accueil où les masturbateurs chroniques en souffrance, c’est à dire en manque, pourraient venir se soulager : entre eux biens sûr, mais aussi en étant pris en charge par des infirmiers spécialisés, des thérapeutes de la maladie onaniste. Après tout, on est bien en train de mettre en place des « salles de shoot » pour les accros à la drogue ! Et notre drogue à nous ne coûte rien à la société, et elle est inoffensive ! Dans ces lieux de branle, l’onaniste en souffrance pourrait se faire branler autant et aussi longtemps qu’il en a besoin, jusqu’à sédation des symptômes de manque, épuisement des réserves de sperme, et satisfaction complète des pulsions masturbatoires.
Ainsi, aujourd’hui et en cet instant même, j’éprouve mon désir masturbatoire comme une souffrance due à l’addiction onaniste. Je me dis que je souffre, et qu’il faut absolument que je me satisfasse coûte que coûte.
Et je me dis aussi que cette souffrance sexuelle due à la « maladie onaniste » serait plus facile à supporter si je pouvais la partager avec d’autres « malades » comme moi !
Voilà pourquoi je propose que notre Michael nous ouvre un sujet qui pourrait être intitulé « Onanisme, maladie et souffrance ? », et dans lequel nous pourrions échanger et partager nos témoignages sur cet aspect de notre sexualité de branleurs.
Merci d’avance, et en attendant impatiemment nos échanges !
Mes frères de sturbe, je serre vos pines avec une intense compassion !
Onaniste "
Pour ma part, la masturbation peut être vécu comme une maladie, comme une soufrance, car oui le temps qu'on passe sur nos queue, on le passe pas ailleur. Pour certains on peut perdre son temps, pour d'autre on peut etre débile.
Pour moi c'est un mélange, une sorte de folie qu'on assume quand on est aussi accro que nous, un folie et une addiction qu'on a envie de multiplier, une addiction qu'on veut mener à bout.
Même si tous les deux jours on se dit aujourd'hui, je me calme, aujourd'hui je me masturbe que 5 minutes, au bout du compte, le plaisir de la queue, le cervo et les délires nous font continuer et nous enfoncer.
On peut en souffrir, on peut en redemander, pour moi j'ai un peu jeté l'éponge de me battre à moins le faire. C'est un besoin aujourd'hui que j'assume, et une addiction que je fais tous les jours.
Même si aujourd'hui je passe entre 3 et 5 heures par jour sur ma queue, ben tant pis, pour moi c'est mon plaisir et point.
A toi aussi de nous dire comment tu vis ton addiction.
Merci mon pote Onansite pour ce sujet, merci de continuer si tu en as envie, car ici tu as ta place.
Demain je met sa réponse à un questionnaire.
A plus mec et surtout lache pas ta queue, tu vois t'es pas seul accro.
J'te kisss
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merci à Mika d’avoir publié ma com sur la question de la masturbation « chronique » considérée, comme le mot l’indique, comme une « maladie » sexuelle.
Et je rebondis sans attendre sur ce qu’il a ajouté à la fin de ma première com sur le sujet.
Oui, nous connaissons tous, nous avons tous connu, ces promesses que nous nous faisons d'arrêter. Ou, comme tu le dis, « aujourd'hui, je me calme, aujourd'hui je me masturbe que 5 minutes » !
Dans un autre domaine – beaucoup plus dangereux, celui là ! – c'est ce qu'on appelle des promesses d'ivrogne !
Je me rappelle être passé par là, quand j'étais étudiant et que la sturbe me prenait déjà des heures de mon temps, jour et nuit, et que j’y consacrais déjà une énergie que beaucoup auraient considéré comme déraisonnable ! J’avais un calendrier sur lequel je cochais « les jours sans » comme des victoires remportées sur le démon de la masturbation ! Mais les inévitables retombées dans le vice de la sturbe étaient encore plus spectaculaires, les branles encore plus violentes, et au cours de mes séances de rattrapage je me ravageais les organes sexuels encore plus fortement, jusqu'à épuisement.
Non, les seules périodes de "rémissions" que je traverse parfois, sont simplement celles où la pression de la pulsion masturbatoire s'est faite moins forte, peut-être parce que j'ai réussi a atteindre le point où les exigences de mon système génital ont été provisoirement satisfaites par mes sturbes intenses et répétées. Ou peut-être simplement parce que ce système s’octroie, naturellement et spontanément, une sorte de « repos biologique ».
En fait la sagesse consistait au contraire, comme Mika le dit très bien, et nous le savons tous, a s’assumer : c'est le maître mot. A se dire « OK, c'est ma sexualité, je la vis jusqu'au bout . Elle ne dérange personne, si ce n'est moi même, et encore : la jouissance et l'équilibre quelle me procure valent largement l'investissement que j’y mets ! »
Seulement, pour en arriver a cette attitude, il faut être parvenu à de détacher des fausses opinions morales, il faut avoir acquis de l’information et conquis une indépendance de jugement. Il faut ainsi avoir acquis la certitude que la masturbation est une forme comme une autre de la sexualité humaine. Il faut aussi savoir qu’on n’est pas seul a la pratiquer de façon chronique, et que cette forme de sexualité » réunit des « adeptes » qui ont envie d'en partager l’expérience dans la complicité et la fraternité.
Et c’est exactement ce que nous avons la chance de pouvoir faire ici.
Ici c'est vraiment le blog des vrais branleurs, des accros, des tarés de la sturbe, des obsédés, des débiles, des compulsifs, des ruteurs graves. C'est du lourd, du sérieux. C’est pas le blog des branleurs à la petite semaine, qui se tripotent trois minutes en matant leur porno, et crachotent une petite giclée tous les huit jours. Honnêtement ceux-là, je n'ai pas trop envie de les voir rappliquer : ils ont déjà des centaines de sites où ils peuvent aller se branloter.
Nous on a besoin de notre havre. D’un lieu où nous retrouver dans le dialogue, le partage, la compréhension mutuelle, la solidarité et l’encouragement, la complicité et la fraternité.
Et ce lieu, c'est ici.
J’ai hâte d’engager ici-même le dialogue avec vous sur cette question de la « maladie ».
Je tâte amicalement vos bites de tarés.
Onaniste
C'est un immense plaisir que d'avoir mis ton article sur le blog. Merci de l'avoir écrit, car on se sent tous concerné par ça, et nous sommes tous des obsédé. merci et biensur on attend la suite.
moi aussi j'aime la sturbe depuis que j'ai commencé à pratiquer ,vers 13ans je crois,encore actuellement je me fais du bien ,tout les jours, ,parfois je me branle des heures entières ,et j'arrête juste avant de jouir,je sens les spasmes de ma bite ,je pense à autre chose,et quand elle est encore à moitié rigide,je la reprends,,doucement ,je mets de la crème à la glycérine et j'ajoute de la salive,et le poing fermé,je retourne ma main et remonte par le gland,jusqu'aux couilles ,de l'autre main je me masse l'anus,et les couilles ,c'est trop bon
au bout de 3jours je la masse à fond et j'explose alors tout le sperme accumulé
vive la bite ,le sperme,et les orgasmes,j aime aussi sucer et branler à plusieurs ,y a pas de mal à se faire du bien
bizous à tous les masturbateurs
Merci Phil, c'est un plaisir de te lire, çafait gonfler la queue.
Tient tu es dans le bas-rhin? moi Colmar,tu peux me contacter masturbation68@hotmail.fr
Amuse toi bien, amusons nous bien avec nos organes sexuels : ils sont faits pour cela !
Bisous à toi aussi, ainsi qu'à tous nos frères branleurs.
Onaniste
Oui car les techiniques ou autres témoignages sont kiffant. Rester sans juter mmhhhhh
Moi aussi j'aime ça me branler pendant très longtemps.
Je trouve qu'il y a un plaisir de fou à se dire "je suis complétement taré de me branler si longtemps" mais ce plaisir est si intense...
j'aime être un accro à la branle
d'ailleurs rien qu'en parlant je me touche la queue...
Ouiiiiiiii c'est excitant de se dire qu'on est taré de branle. C'est un plaisir de se connaitre et savoir aimer notre queue. Aimer son corps et lui donner
Tout d'abord (et encore une fois) MERCI à mika (mon frêre) d'animer ce blog, le seul qui nous permette à tous de nous connaitre, peut être pour certains de nous rencontrer, de nous livrer, de nous dévoiler, de nous confier. Sans jugement des autres, parce que nous portons (ou supportons)tous en nous l'onanisme envahissant !
MERCI à onaniste d'avoir ouvert ce sujet sur le blog ! Bel article et surtout belle ouverture de réflexion. C'est justement parce qu'on à 90 % du temps une bite à la place du cerveau qu'on aime à partager sur tout ce qui concerne nos génitos.
Et puisque le sujet est lancé, je vous fait partager mon expérience...
De mémoire, j'ai commencé très jeune à me masturber vraiment; je me souviens qu'en classe de 6ème (j'avais 10 ans) un prof m'avait surpris un autre élève et moi à nous masturber au fond de la classe derrière nos tables ! Pendant des années je n'ai pas arreté de branler; à l'époque je faisais beaucoup de compétitions de natation et après l'entrainement je pouvais passer un temps fou dans les douches à masturber... Avec un voisin de chez mes parents, on passé des heures dans ma chambre ou la sienne à nous tirer sur les manches à couilles ! D'ailleurs je l'ai croisé l'autre jour par hasard; il est marié, 2 gosses; je me suis demandé s'il se tapé toujours le zob comme un taré (mdr).
Et puis vers 19/20 ans, j'ai pensé que c'était mieux de baiser que de masturber ! Quel con ! J'ai perdu des années après ... en niquant comme un malade des culs de toutes sortes. Mais franchement, rarement j'ai retrouvé les mêmes sensations que je ressentais avant en masturbant.
J'ai repris la masturbation (rien que le mot me fait fonctionner les gonades), depuis quelques années, à un rythme assez dingue. Par période j'ai essayé de limiter, de ne pas me toucher, de penser à autre chose ... en me disant que je perdais trop de temps à ça, que finalement c'était pas normal ! Alors j’arrêtais quelques heures, 1 jour, 2 jours; et puis le zob me rappelait à l'ordre.
Aujourd'hui, j'ignore si je suis malade, anormal, détraqué, mongole ! Je peux passer des heures, des nuits sur ma bite et mes burnes; ça me prend parfois n'importe où, dans le train, dans un supermarché, dans la rue. Pas facile à gérer mais je fais avec. Souvent la bite me réveille la nuit et réclame sa branlée; alors je la choppe, je me dit que ça va durer 10 minutes, que je vais vider et me rendormir. Et là, j'suis pris au piège; je peux plus lâcher le manche et parfois je branler 2h avant de m'effondrer de sommeil. Presque toujours, je m'enfonce dans des spasmes compulsifs dont je perds à un moment le contrôle. Je deviens une bite sur pattes, ma main une machine à masturber. Et je tire des heures, la langue pendue et baveuse, la bouche se tort de douleur ou de plaisir je ne sais pas, les yeux révulsent. Une tronche de mongol quoi !
Alors les gars, si dans cette assemblée des branleux il y en a qui sont comme moi, ils comprendront intimement ce que je vis. Encore une fois, sommes-nous malades ? Sommes -nous à enfermer ? ... J'm'en bats les steaks en fait. Je suis certain en revanche d'1 chose : nous sommes FIERS de aussi tarés de branle !
Merci à tous d'être là. Et bonnes branles
Thierry
Merci mon frere, merci mon keumruteur, et tu as ta placeici, la preuve, tu m'as foutu la trique salooooooo. Et oui toi tu es un accro, comme moi
j'ai imaginé un alpha-bites pour notre activité de savasavient
A =accro
B=bite
c=couilles
d=dur
E=ejac
F=fellation,ou foutre
G=gonades
H=homo
I=injaculation
J=jouir
K=kapote
L=lecher
M=masturbation
N=
O=onanisme
P=polluer
Q=queutard
R=recommence
S=sucer
T=titiller
U=urgen de se vider
V=vidange
W=double vidange
X=tout le sexe
Y=yopage
Z=zob
à vos bites...partez!!!!!
je vous aime,on s'aime
petite histoire:
un jour je vais au wc,il y a 5 cabinets
la porte du milieu est inoccuppée,je m'asseoit,et commence lentement à me caresser la bite
à droite et à gauche je vois des ombres animées qui en disent long sur leur signification: ils se branlent aussi
je m'allonge sur le sol, à droite,et là je vois un joli mec tout nu superbe bite ,en pleine sturbe
ma queue se raidit immediatement,;je regarde à gauche,pareil,je fais signe,et celui de droite s accroupit,là je le branle,et ja rrive à le sucer
très vite il jouit,je reçois tout le jus dans ma bouche,(j adore le gout du yop)
au tour du voisin suivant,il s accroupit ,et passe sa main,il commence à me branler mais,là,il commence doucement,suavement,c'est trop bon,je commence à mouiller,il s arrete et me tend un bout de papier,il m invite chez lui,je reponds ,ok, et mes amis,chez lui ,il m'a fait assoir sur une chaise percée,pour commencer,il s est glissé endessous et m'a sucé,quelle sensation!!,je sentais le yop monter,il s'est arreté,on etait tout nu ,sur son lit
il m'a couvert de son corps,je sentais les frissons de nos corps,sublime,il me lechait partout,je bandais à mort
il m'a recouvert avec un drap de soie,et ma dit de ne plus bouger,quel delice je sentais l extase monter,il m'a embrassé langoureusement,,des petits bizous dans le cou,les oreilles
les tetons
les couilles,et on s'est sucé en 69,
extase finale,éjaculation simultanée,o, est reté couché l'un contre l autre et on s est endormi,
quand j ai repris connaissance
il dormait encore
j ai promené mes doigts sur son visage,sa queue,molle
je l ai caressé doucement,il rebandait un peu
j ai pas pu m empecher de la reprendre en bouche ,il sest réveillé,et on a recommencé,c'etait encore plus sensuel,on a mis 2heures avant d 'ejaculer une seconde fois
ce mec,on s'est liés d'amitié,on s'est revus pendant 2ans,et toujours cette sensualité,cette amitié indéfectible
,et un jour on a du partir chacun de notre coté
voilà chers accrobites je tenais juste à partager ce moment de bonheur intense avec vous,,pas de drogue,pas d'histoires de fric,ou autres déviations,juste du plaisir ,de gouter à notre corps fantastique ,si on le respecte on peut rester un être humain,sans nuire à qui que ce soit
bizous partou
phill67 de strasbourg
C'est un pur bonheur se genre de jeu, faire des alphabet ou trouver des mots, j'adore ca. Je le fais des fois avec frangin et on kifffff. Merci Phil pour tes com, ca fait du bien.
Merci à Onaniste pour son super article sur l'obsession dégénérée de la branle, tout est dit, tout y est résumé, je m'y reconnais à mort.
Je viens d'avoir 46 ans et suis un vrai taré de sturbe. Cela fait 35 ans que je sturbe, que je développe le vice et c'est de pire en pire. J'ai toujours passé mon temps à penser à la bite, à mater les mecs partout, à phantasmer, neuroner. Moi aussi j'ai passé mes années entre 19 et 35 ans à baiser, puis je me suis consacré totalement à la sturbe quand j'ai découvert l'exhib (être à poil en branle devant des mecs habillés) vers 35 ans. Plans surtout en extérieur, mon kiffe et chauffer des mecs mariés ! Aujourd'hui je passe entre 2 et 8 heures par jour sur ma pine, elle réclame tout le temps, elle alimente mon cerveau de taré et de connard. Je mate du cul, de la branle, je fais du rezo, je vais loin dans les dialogues et échanges. Suis de plus en plus libéré, vicieux et perv. Mon rêve est de passer 2 ou 3 jours dans un gite isolé avec une confrérie de branleurs poilus comme moi à vivre comme des bêtes en rut qui ne ne pensent qu'à ça.
Merci à mon frère Mickael pour son blog, tu es génial et tu sais ce que je ressens pour toi.
A vos pines les mecs, quel bonheur d'avoir ça entre les pattes !
Tu es un vrai frère, je te kiff tellement mais ça tu le sais mon frère de poil. Merci pour ce bon commentaire, encore une fois j'ai la gole grace a toi
Je lis chaque mot que vous avez écrit avec attention et jouissance. Et chaque fois je me retrouve dans cette fraternité.
Merci à Mika pour son accueil et ses réflexions.
À Phill67 pour son astucieux et véridique abécédaire du sturbeur ! Et son très joli et détaillé témoignage de ce que peuvent être une amitié et une affection cimentées par le partage de la branle. C'est plein de sexe et d'émotion. C'est très beau.
À Juan Carlos qui nous écrit en se touchant la queue.
À Keumruteur, qui dit si bien la violence de ce que nous éprouvons et faisons.
À Pogono notre pote exhib, taré et libéré.
Ce soir, juste après vous avoir envoyé ce mot, et en continuant de vous relire, ça va être la fête de la bite chez Onaniste !
Un conseil inutile : prenez soin de vos queues, les mecs !
Onaniste
On est des obsédé, des taré, on a des besoins et on les assume, c'est important d'avoir un endroit pour nous, dédié a la sturb et pouvoir en parler
Merci pour ton com Eric, le blog est fait pour bander et sturber
Lâche pas frérot!
abdos36
Dommage tu nous a pas donnéton avis Abdos
Tu es un taré parmi les taré et tu y a ta place.
D'accord avec Pogono, quel plaisir d'avoir une bite entre les jambes.
Bonne sturb les gars
Jaimemabite
Ouai on est des gars, fier de l'etre. Oui Pogono on a des bites entre les pates, avec du poil autour et on est content de s'en occuper
Malade ou pas qu'importe moi j'assume totalement ce besoin que j'ai de me branler ...
Alors oui c'est pas évident à gérer parfois quand la bite réclame et que je suis dans un lieu public, oui c'est une réelle addiction comme l'alcool l'est pour certains, donc on vit avec... Et c'est une addiction dont je suis fier même si parfois elle me coupe du reste ... J'aime tellement ma queue qu'au
final rien ne peut m'empêcher de répondre a ses demandes!
Ca fait plaisir de voir que je ne suis pas seul!
A bientôt mes frères
Merci mon Thom, plaisir d'avoir ton commentaire. Oui c'est un besoin et on aime le donner a sa queue. C'est que du bonheur
Je t'ai découvertcet apres midi, ben quel plaisir, un vrai, un taré, un poilu,waouwwwww bienvenu ici
Mes commentaires sur l'article d'Onaniste se feront sous forme de 14 réflexions.
1. Pour vaincre notre dépendance à la masturbation, il faudrait trouver une autre dépendance aussi forte sinon plus forte, et cette dernière n'existe pas.
2. En lui-même, le mot maSTURBation, nous fait de l'effet.
3. Lutter contre la masturbation, c'est comme lutter contre un tsunami ou une tornade, le vainqueur est connu d'avance.
4. Les sensations que nous avons ressenties la toute première fois où nous avons joué à touche-pipi ont scellé notre relation future avec notre pénis : grosses sensations, gros besoins; petites sensations, petits besoins.
5. Comme le citait la revue "Cosmopolitan": la masturbation chez l'homme est un vrai besoin physique et une nécessité biologique. Il faut faire de la place au nouveau sperme produit.
Et nous, les accros, nous en produisons quotidiennement une quantité phénoménale.
6. Si le commun des mortels a des idées tordues et préconçues quant à la masturbation, c'est à cause de toutes les sales dénigrements véhiculées depuis des siècles contre le plaisir solitaire.
7. Personne ne contestera que les garçons aiment et aimeront toujours jouer, même devenu homme. Alors, qu'y a-t-il d'étrange ou d'anormal pour le mâle de jouer avec sa bite? L'homme a été créé ainsi, avec un puissant jouet rempli de millions de fibres et de terminaisons nerveuses toutes agréables et excitantes au toucher.
8. La pire souffrance pour un gros branleur, c'est quand, pour diverses raisons, la bite réclame et qu'il ne peut pas lui donner.
9. Si on se coupe de la société en passant trop de temps sur notre queue, c'est que celle-ci n'a rien de mieux à nous offrir.
10. Désormais, la masturbation est un plaisir qui se revendique, se conseille et se pratique de plus en plus.
11. La masturbation contribue au bon entretien du corps masculin. Dites-moi, pourquoi se priver d'une cure de jouvence et de plaisir?
12. Les statistiques révèlent que 90% des hommes se masturbent ou se sont déjà masturbés. Les 10% restants, selon moi, sont trop vieux, ont des problèmes érectiles ou possèdent une bedaine qui les empêchent de voir et d'atteindre leur queue. Sinon la totalité des hommes se masturberaient.
13. Si l'homme ne devait pas se masturber, sa queue aurait été placée à un endroit difficile d'accès sur son corps et non là où elle se trouve. Ou c'est sa main qui aurait été placée ailleurs.
14. Enfin, si la masturbation est une maladie, alors je me joins volontiers à Serge Lama, pour dire :"je suis malade, complètement malade. C'est ça, je suis malade."
abdos36
ehehhhh excellent abdos, le sturbeur dans tous ces état excellent
À propos de cette « souffrance » du sturbeur, pour moi c’est quand je sens (re)venir l’irrépressible besoin de la branle. C’est quand je me dis : « Putain, ça revient ! Je sens que c’est à nouveau là, entre les cuisses, entre l’anus et le gland, tout le long du périnée, de la verge et du frein, et que ça irradie dans les seins. C’est un flux qui passe comme un courant. Une exigence physique qu’il faut combler, impérativement. »
Ça se passe aussi dans la tronche. C’est le fait de me dire, pour la millième fois : « Mec, t’es un branleur ! Ta queue est de très loin ce qui te donne le plus de plaisir dans la vie. Mais quand elle en veut, quand elle réclame, qu’elle exige tyranniquement, tu DOIS lui donner. Tu n’as pas le choix. C’est le prix à payer pour avoir une queue entre les jambes, une queue généreuse qui te donne toute cette jouissance.
Les potes, dans ce moments-là, il m’arrive véritablement de souffrir. De me dire : « Putain, J’AI MAL ! J’ai mal à ma queue ! J’ai mal à mon désir ! Aidez-moi, j’en peux plus ! J’ai mal au sexe ! J’ai le mal de la branle ! ».
Et il va falloir que j’y passe, que m’y colle. Encore une fois. Comme je l’ai toujours fait. Et déjà je commence mes contractions périnéales. Ma main se dirige incoerciblement vers le paquet et l’agrippe, commence de le malaxer. Pour cela, il faut que je m’isole, que je trouve d’urgence des chiottes, ou au moins un coin retiré, pour me contracter tranquillement le système ano-génital, et me le toucher, me le frotter, au moins une ou deux pressions pour que je puisse calmer un peu la bête.
C’est aussi dans ces moments de « souffrance » qu’on est heureux d’avoir des potes de branle, et de pouvoir leur dire ça ! Les potes, en ce moment même, j’ai très mal à ma bite, et ça me fait du bien de pouvoir le dire ici.
Je tâte vos bites dégueulasses de branleurs.
j'adore quand tu parles, j'adore te lire car on le vit avec toi, c'est trop bon
Je partage tes souffrances de branleurs obsédés. Que veux-tu la bite est dominante et quand elle a besoin, impossible de lui refuser. Elle nous comble tellement.
J'aurais aimé cher frangin Onaniste que tu commentes mes 14 réflexions que j'ai écrites sur ton article.
J'ai pris 3 jours à pondre cela. Ça m'aurait fait plaisir de lire ce que tu en penses.
Nous sommes esclaves de notre pénis chéri, rien de moins. Nous n'y pouvons rien!
Laissons-nous aller.
abdos36
on est simplement à l'ecoute de notre queue, on est la pour lui faire du bien
vrai taré obsédé qui ne ch pas de remède.
Mon remède c est d'avoir ma pine et de pogner des heures
et de la partager avec des frangins aussi malade
je ferai un post sur cette obsession et ce que cela m 'amène à faire ( ou ne pas faire.
je vous laisse ma pine réclame déjà dès le levé avec dces envies de mater des pines
a plus
Ouaiiiiiii des heures la pine en mains, c'est clair,comme aujourd'hui ? trop bon frangin
au pieu je me tate la pine qui est deja raide
elle réclame. ! me lève allume l'ordi prend un café
vais au chiottes !
et là je sens que ca part.... matage de boulard................
envie de pines de branle de frangins odorants
et ne plus rien foutre d'autre que de ruter gooner et chasser du mâle comme moi.
ces situations sont très fréquentes où je ne pense qu'a trouver du branleur et bosser la viande
odorante de pisse et passer des heures et des heures à cà
former des clans d hommes entre eux sans femelle qui s'admirent se venerent se reniflent et "gooneent"
vrai obsession maladive que je ne veux pas soigner
je retourne sur la pine les frères
je connais tes délires, tes obsession frangin, c'est un plaisir de passer du temps bien long avec toi.
y a encore des places mon pote avec plaisir
ouaiiii ciné porno, lieux de drague ou chiotte autoroute, c'est grave kiffant
1. Cette dépendance existe sans doute, mais chacun la sienne. Et la nôtre, c’est la dépendance à la masturbation.
2. Oui, répéter les mots de notre identité sexuelle, les mots de notre tribu est un facteur d’excitation : masturber, masturbation, masturbateur ; branle, branler ; onanisme, etc.
3. Je crois qu’ici les frangins ont depuis longtemps renoncé à lutter ! Au contraire, tous ici, on assume du mieux qu’on peut !
Quant à ceux qui prétendent lutter contre le vice d’un vrai branleur, ils perdent en effet leur temps !
4. Pas sûr ! Perso, j’ai toujours été depuis le début un sale branleur vraiment accro. Mais je pense que certains autres le sont devenus au fil du temps, alors qu’ils découvraient lentement mais sûrement leur vraie nature de branleurs.
5. Un vrai besoin physique dont, en effet, le dénigrement fait du mal à ceux qui en auraient besoin et qui, de ce fait, s’en privent.
6. Oui. Ras le bol des idéologies, souvent d’origine religieuse, qui prétendent encore dominer les esprits en dominant les corps, et nous disent ce qu’on doit bouffer et comment on doit gérer nos sexualités.
7. Bien sûr que l’appareil génital humain s’est développé et complexifié au cours de l’évolution, de telle sorte que l’exercice de la sexualité excède bien largement celui de la reproduction. On ne devrait même pas avoir à le redire !
8. Oui. Mais ce salaud de gros branleur est encore capable de jouir de cette frustration et de cette souffrance !
9. J’aime bien l’humour de cette réflexion ! Encore qu’il faille la modérer : les gens qui s’abrutissent de télé, de consoles de jeux ou de baladeurs ne font pas autre chose non plus que de se couper de la société. Alors, chacun son truc.
10. Oui, et c’est tant mieux. Encore que pas encore assez. Il manque que la masturbation soit vraiment présentée comme une forme comme une autre de sexualité, avec ses implications relationnelles, ou même amoureuses…
11. Oui. Elle rééquilibre l’énergie, nous en savons quelque chose ! On dit même qu’elle contribuerait à diminuer le risque de cancer de la prostate (enquête australienne).
12. Sans doute. Mais surtout, que chacun fasse ce qu’il veut.
13. Réflexion pleine d’humour et de sagesse. Et constatation que je me suis souvent faite, tant elle est évidente !
14. Sur la question de la « maladie », dont une société elle-même malade depuis longtemps nous taxe, nous avons encore beaucoup de choses à nous dire !…
À plus donc. Et encore merci pour ces réflexions !
merci pour notre frangin, c'est bandant tout ca
ehehhhh ca serait bien ca mais suis trop exentré,suis en Alsace
Je vous invite tous à (ré)écouter, en podcast sur France-Culture, la chronique du 11 décembre, donc très récente, de Philippe Meyer dans les Matins de France-Culture. 3 minutes et 19 secondes d'intelligence et d'érudition souriantes.
M. Lion, — et nous avec lui, mais nous le savions déjà — y (ré)apprendrons que ses élucubrations anti-onanistes datent de la seconde moitié du XVIIIe siècle : elles ont donc eu largement le temps de rancir, et il serait temps que notre ami Lion ouvre un peu ses fenêtres mentales pour aérer son intellect qui pue sérieusement le renfermé !
Ces élucubrations sont dues à un docteur Tissot, qui a effectivement laissé sa trace dans l'histoire comme l'auteur d'un Traité de l'Onanisme, dans lequel le docteur, nous dit Ph. Meyer, "perdit la boussole" jusqu'à menacer les masturbateurs des pires maux, telles une "terrifiante consomption [entendez ni plus ni moins que la tuberculose !], d'affreuses souffrances puis une terrible agonie", excusez du peu ! Ph. Meyer ajoute que ces considérations conduisirent des "éducateurs cruels et vicieux" à imaginer "d'épouvantables appareils de torture pour empêcher jeunes gens et jeunes filles de se donner de la joie" (remarquez comme c'est joliment dit !). Je remarque d'ailleurs avec délice et malice que ces appareils préfiguraient les sex-toys SM d'aujourd'hui, cockrings et autres instruments dits, par antiphrase, "de chasteté", et qui nous servent plus à nous masturber mieux encore que le contraire !
Pas très observateur, le bon docteur Tissot ! Imaginez : si tous les branleurs avaient dû crever de la tuberculose, quelle hécatombe cela aurait été ! Il aurait dû venir faire un petit tour chez nous, et constater à quel point nous pétons de santé et d'équilibre : précisément grâce à notre pratique de la masturbation. C'est ce que, fort opportunément, nous rappelle Philippe Meyer à la fin de sa chronique, évoquant "une récente étude sur l'universalité de cette pratique qui, chez l'homme, réduirait les risques de cancer, de cystite et de diabète" !
Tu te rends compte, cher Lion, de quoi tu risques de souffrir ?! Cancer, cystite et diabète ! Alors un conseil : si ce n'est pas de ces maladies que tu veux te faire soigner, fais toi soigner de celle dont tu souffres actuellement : la carence masturbatoire. Le traitement est simple : sturbes à gogo, jusqu'à sédation des symptômes. C'est gratuit et ça fait du bien.
Par contre, il faudra aussi penser à traiter une autre pathologie : la connerie. C'est aussi gratuit, et ça fait aussi du bien, mais il paraît que ça prend plus de temps…