Le blog de accromasturbation
Tu sais c'est toujours un plaisir de te parler, de te lire, mais j'espere tres bientot te revoir et passer un bon moment hors pudeur hors taboo et faire une vraie seance
j'adoooore j'espere que vos contact se font
suis a lyon cet am samedi 15 juin !!te donnerais tel et pics
KISS
n'hesitez pas a vous contacter vous melanger
Mais cette gravité me semble tout à fait justifiée par le fait qu’il y a là un problème qui est au cœur de nos sexualités, de nos expériences, et de nos désirs.
À la lecture des commentaires de nos frères j’ai été frappé par la gravité de leurs propos, et le poids, l’intensité, de leur perception de cet aspect de leurs sexualités et, donc, de leurs désirs.
Ce que j’en retiens, c’est ceci, qui ne fait rien d’autre que reprendre ce qu’on peut dire de toutes les sexualités – hétéro, gay, masturbatoire ou autre… : à savoir qu’il existe un continuum entre sexualité et affectivité, que l’une mène à l’autre, et que l’autre mène à l’une (sans évidemment que ce soit toujours ni obligatoirement le cas).
Que, donc, et en tout cas, la sexualité masturbatoire contient une dimension qui l’ouvre sur le relationnel, le partage, l’empathie, l’affectivité, l’amour.
C’est en tout cas une chose à laquelle je crois, profondément, tant de par mon désir que, heureusement, de par mon expérience.
Cette ouverture, ce prolongement, de la sexualité masturbatoire vers l’affectivité, peuvent se manifester à bien des niveaux différents.
Déjà ici même nous en faisons l’expérience chaque fois que nos nous connectons au blog de Mika, et que nous constatons à quel point il compte pour nous, à quel point nous y trouvons compréhension, échange, complicité, amitié, fraternité (un mot qui revient souvent).
Au-delà, plusieurs ici nous disent qu’un de leurs plus grands bonheurs serait – ou est ! – de vivre une sexualité de branle en la partageant avec un ou plusieurs partenaires.
Pour ma part, et si vous me permettez d’évoquer mon expérience personnelle, j’ai vécu pendant 7 ans une relation affective profonde, riche, belle, avec un garçon avec qui j’entretenais un rapport… disons de mature à plus jeune. Or au niveau sexuel, cette relation était basée sur le partage d’une sexualité exclusivement masturbatoire, obsessionnelle et même sauvage. Et il est certain que notre relation n’aurait jamais été ce qu’elle a été, si elle n’avait été soutenue et cimentée par notre passion commune pour la sturbe, par le partage de ce vice totalement assumé.
Je me souviens que, lors de notre première « baise », qui s’annonçait plutôt « classique », il avait déjà eu besoin de « se finir » à la sturbe, et que j’en ai fait autant, et que cela nous a beaucoup plus.
Je me souviens aussi de l’émotion, et même du bonheur, que ça a été pour nous de découvrir un peu plus tard que nous étions l’un et l’autre de véritables branleurs obsessionnels, et que nous allions pouvoir désormais partager ce vice commun aussi profondément que nos désirs nous y conduiraient !
Et Dieu sait que nous ne nous en serons pas privés ! Nous avons pratiqué la sturbe sous toutes les formes imaginables :
Cela choquera ceux qui veulent bien que ça les choque, mais je n’hésite pas à dire que même les jets de pisses que nous échangions parfois, étaient des dons que nous nous faisions, des dons d’affection, et d’amour, ô combien profonds.
Et il en allait évidemment plus encore de même de nos spermes.
Et aujourd’hui encore, après une séparation survenue il y a bientôt 3 ans, et un deuil qui a bien fini par se faire, je continue de souffrir de la perte de cette relation, tant par le manque affectif que cela a représenté que – et en même temps ! – par le manque du partage de nos sexualités de branleurs.
Mais un dernier mot pour vous rassurer ! Après cette longue traversée du désert, j’ai enfin eu le bonheur de rencontrer un nouveau partenaire. Nous nous sommes mis d’accord sur le fait que, sexuellement, nous n’étions ni l’un ni l’autre des tenants de la pénétration : vous conviendrez que c’était là un excellent départ pour le partage d’une sexualité de branle. Et il semble bien que cela doive être le cas. D’autant plus que, dès le départ, je n’ai pas voulu lui cacher qu’il avait à faire à un vrai branleur, obsessionnel et quasi exclusif…
… Ce qu’il a très bien compris, et qu’il semble prêt à partager avec un enthousiasme de néophyte désireux d’apprendre !
La suite, peut-être, un jour !…
Je vous serre les bites bien amicalement.
Mon plaisir de vous lire et de vous savoir connecté ici fait parti de la complicité, de la fraternité et de ce besoin d'etre ensemble.
Merci pour ce partage par rapport a ton experience passé, ca me fait rever. Et tu as raison si tu as retrouvé quelqu'un de mettre les choses au clair directement. C'est ce que je ferais aussisi un jour c'était le cas. Tu es un accro obsede et tant mieux je kiffff merci à toi d'etre sur le blog
Je suis a 200% en acord avec Eric, c'est juste c'est dit c'est pensée et c'est ouvert. Rien n'est choquant tout est clair j'adore
Merci Éric, merci Mika. Vos appréciations sont un réel encouragement à continuer d'intervenir sur ce blog où un branleur convaincu sait qu'il trouvera toujours attention et compréhension.
J'ai déjà dit, mais j'y insiste, que je vois, sens et vis la sturbe comme un vecteur, une possibilité d'ouverture vers l'affectif. L'inverse est évidemment vrai aussi : l'affectif peut avoir envie de se manifester à travers le sexuel et, dans le cas de nombre d'entre nous, vers le sexuel de la masturbation partagée, quelle qu'en soit la manière.
Mais il ne s'agit ici que d'un constat, pas d'une règle. Et si beaucoup ici semblent souhaiter donner une dimension affective a leur sexualité onaniste, cela n'enlève aucune valeur au choix de ceux qui préfèrent vivre leurs vies de branleurs sur un plan uniquement sexuel ! Ils ont droit eux aussi à notre respect fraternel !!!
Je serre vos bites en amicale complicité !
la sturbe peut etre aussi bien solitaire qu'un rapprochement entre deux etre qui sont pareil. Deux males qui ont envie de s'encourager et partager des moments forts.
Onaniste, quand tu parles, ou plutôt quand tu écrits, on ne peut rien y ajouter.
C clair, accessible, convaincant, écrit avec finesse, tout en douceur, et surtout véridique. C'est notre réalité.
Je salue les commentaires de mes frères Éric et Mika, je les partage et les appuie totalement.
Bravo les gars!
Vous êtes tous SUPER!
La petite famille d'accros branlette se solidifie.
Bonne branle les gars!
abdos36
on est daccord abdos, ce gars est terrible
on ch tous ici un ou des partenaires plus ou moins réguliers (sans de grand succes )
moi j'ai un probleme des que je trouve un mec de branle ça fini .....qu'il me saute ..( je vais pas cracher dans la soupe c'est super bon (comme sam soir a lyon au sexshop !!) mais ça remplace pas bonne seance longue juteuse baveuse odorante KISS NORBI
Moi je deviens de plus en plus solo, plus envie de plan cul, surtout pas de sodo. Maismasturbe pelle leche
Je me retrouve parfaitement dans ce que disent Éric, l'Obsédé et Abdos36 de la branle de nos queues molles. Molles, mais jamais complètement au repos. Du fait de se maintenir constamment en état d'excitation même en dehors de l'érection. De ces tripotages constants de nos paquets sexuels, auxquels nous nous livrons tout au long de la journée. De la branle après la branle. "Quand la queue ne veut plus trop bander", et que c'est au fond sans grande importance.
La queue est à nu ou enveloppée dans le slob de branle, serrée ou non dans un cockring. Elle a joui ou pas encore. Mais c'est une queue d'accro à la masturbe : elle exige sa ration de jouissance.
Alors nous la lui donnons. Nous l'empoignons en la laissant si besoin dans le slob, nous la caressons, nous la frappons, nous l'étreignons, nous la décalottons, nous la recalottons, nous faisons jouer et coulisser le gland dans le prépuce. Nous la faisons souffrir, nous la faisons jouir.
La salope jouit, elle est heureuse. Elle bave sa mouille dans notre main, ou dans la poche du slob quelle imprègne comme un slob de branleur : poche souillée, jaunie, cartonnée, odorante. Et si nous la laissons faire, et si tel est notre désir, elle pisse : avec libéralité, ou par petits jets, enrichissant encore le parfum troublant de notre poche de slob.
Nous la sturbons. Nous nous sturbons ! Encore une fois !
Car pour nous, quand c'est fini, ça recommence ! Quand il n'y en a plus, il y en a encore ! C'est pour ça que nous pratiquons nos branles molles.
Et c'est peut-être bien à cela qu'on reconnaît les vrais branleurs accros.
Waouwwww quelle description d'une queue qui a besoin qu'on s'occupe d'elle, on sent dans tes propos le vrais queutard, merci
De toutes façons le VRAI sturbeur se fout de l'érection, il trouve autant de plaisir dans sa bite molle que dure, il n'est pas obsédé par ça, et du coup....elle bande bcp mieux!
c'est vrai que la sturbe se fait meme queue molle ou semie molle, c'est pour moi la tronche et le cerveau qui sont en rute, et la queue suit