Le blog de accromasturbation

Salut les sturbeurs, J'espere que tout va bien pour vous et vos queue. Le blog se porte toujours aussi bien et je sais que les fidèles aiment les…
Dim 5 mai 2013 24 commentaires
j'etais tellement excite apres cette matinee sur ma queue que je suis alle a AVIGNON dans un cine porno !!!hetero !!au fond a poil complet , debout ma grosse queue a la main je te promet que plus personne regardait la meuf qui se faisait tirer a l'ecran (pourtant par 4 bo mecs !) !!!si c'est pas une maladie ça !!!ah ah KISS NORBI
norbihot - le 25/05/2013 à 19h17

ouaiiii ciné porno, lieux de drague ou chiotte autoroute, c'est grave kiffant

accromasturbation
J’accède au souhait de notre ami abdos36 de lui/vous faire connaître mes réactions aux réflexions qu’il a patiemment rédigées et soumises à nos appréciations.


1. Cette dépendance existe sans doute, mais chacun la sienne. Et la nôtre, c’est la dépendance à la masturbation.

2. Oui, répéter les mots de notre identité sexuelle, les mots de notre tribu est un facteur d’excitation : masturber, masturbation, masturbateur ; branle, branler ; onanisme, etc.

3. Je crois qu’ici les frangins ont depuis longtemps renoncé à lutter ! Au contraire, tous ici, on assume du mieux qu’on peut !
Quant à ceux qui prétendent lutter contre le vice d’un vrai branleur, ils perdent en effet leur temps !

4. Pas sûr ! Perso, j’ai toujours été depuis le début un sale branleur vraiment accro. Mais je pense que certains autres le sont devenus au fil du temps, alors qu’ils découvraient lentement mais sûrement leur vraie nature de branleurs.

5. Un vrai besoin physique dont, en effet, le dénigrement fait du mal à ceux qui en auraient besoin et qui, de ce fait, s’en privent.

6. Oui. Ras le bol des idéologies, souvent d’origine religieuse, qui prétendent encore dominer les esprits en dominant les corps, et nous disent ce qu’on doit bouffer et comment on doit gérer nos sexualités.

7. Bien sûr que l’appareil génital humain s’est développé et complexifié au cours de l’évolution, de telle sorte que l’exercice de la sexualité excède bien largement celui de la reproduction. On ne devrait même pas avoir à le redire !

8. Oui. Mais ce salaud de gros branleur est encore capable de jouir de cette frustration et de cette souffrance !

9. J’aime bien l’humour de cette réflexion ! Encore qu’il faille la modérer : les gens qui s’abrutissent de télé, de consoles de jeux ou de baladeurs ne font pas autre chose non plus que de se couper de la société. Alors, chacun son truc.

10. Oui, et c’est tant mieux. Encore que pas encore assez. Il manque que la masturbation soit vraiment présentée comme une forme comme une autre de sexualité, avec ses implications relationnelles, ou même amoureuses…

11. Oui. Elle rééquilibre l’énergie, nous en savons quelque chose ! On dit même qu’elle contribuerait à diminuer le risque de cancer de la prostate (enquête australienne).

12. Sans doute. Mais surtout, que chacun fasse ce qu’il veut.

13. Réflexion pleine d’humour et de sagesse. Et constatation que je me suis souvent faite, tant elle est évidente !

14. Sur la question de la « maladie », dont une société elle-même malade depuis longtemps nous taxe, nous avons encore beaucoup de choses à nous dire !…

À plus donc. Et encore merci pour ces réflexions !
Onaniste - le 01/06/2013 à 23h03

merci pour notre frangin, c'est bandant tout ca

accromasturbation
BON qd c'est qu'on s'organise une bonne JACK OFF PARTY ??? moi je ne reve plus que de ça : sans pudeur sans tabou !!!!!KISS A TOUS NORBI
norbihot - le 02/06/2013 à 14h40

ehehhhh ca serait bien ca mais suis trop exentré,suis en Alsace

accromasturbation
En l'absence, annoncée, de toute intervention de notre ami Mika, propriétaire de ce blog, et en réponse aux tristes imbécillités de Monsieur Lion, je rouvre ce sujet que j'avais lancé en mai dernier sur "la maladie onaniste", qui n'est décidément pas clos.

Je vous invite tous à (ré)écouter, en podcast sur France-Culture, la chronique du 11 décembre, donc très récente, de Philippe Meyer dans les Matins de France-Culture. 3 minutes et 19 secondes d'intelligence et d'érudition souriantes.

M. Lion, — et nous avec lui, mais nous le savions déjà — y (ré)apprendrons que ses élucubrations anti-onanistes datent de la seconde moitié du XVIIIe siècle : elles ont donc eu largement le temps de rancir, et il serait temps que notre ami Lion ouvre un peu ses fenêtres mentales pour aérer son intellect qui pue sérieusement le renfermé !

Ces élucubrations sont dues à un docteur Tissot, qui a effectivement laissé sa trace dans l'histoire comme l'auteur d'un Traité de l'Onanisme, dans lequel le docteur, nous dit Ph. Meyer, "perdit la boussole" jusqu'à menacer les masturbateurs des pires maux, telles une "terrifiante consomption [entendez ni plus ni moins que la tuberculose !], d'affreuses souffrances puis une terrible agonie", excusez du peu ! Ph. Meyer ajoute que ces considérations conduisirent des "éducateurs cruels et vicieux" à imaginer "d'épouvantables appareils de torture pour empêcher jeunes gens et jeunes filles de se donner de la joie" (remarquez comme c'est joliment dit !). Je remarque d'ailleurs avec délice et malice que ces appareils préfiguraient les sex-toys SM d'aujourd'hui, cockrings et autres instruments dits, par antiphrase, "de chasteté", et qui nous servent plus à nous masturber mieux encore que le contraire !

Pas très observateur, le bon docteur Tissot ! Imaginez : si tous les branleurs avaient dû crever de la tuberculose, quelle hécatombe cela aurait été ! Il aurait dû venir faire un petit tour chez nous, et constater à quel point nous pétons de santé et d'équilibre : précisément grâce à notre pratique de la masturbation. C'est ce que, fort opportunément, nous rappelle Philippe Meyer à la fin de sa chronique, évoquant "une récente étude sur l'universalité de cette pratique qui, chez l'homme, réduirait les risques de cancer, de cystite et de diabète" !

Tu te rends compte, cher Lion, de quoi tu risques de souffrir ?! Cancer, cystite et diabète ! Alors un conseil : si ce n'est pas de ces maladies que tu veux te faire soigner, fais toi soigner de celle dont tu souffres actuellement : la carence masturbatoire. Le traitement est simple : sturbes à gogo, jusqu'à sédation des symptômes. C'est gratuit et ça fait du bien.

Par contre, il faudra aussi penser à traiter une autre pathologie : la connerie. C'est aussi gratuit, et ça fait aussi du bien, mais il paraît que ça prend plus de temps…
Onaniste - le 20/12/2013 à 20h53