Le blog de accromasturbation
Tu es un taré parmi les taré et tu y a ta place.
D'accord avec Pogono, quel plaisir d'avoir une bite entre les jambes.
Bonne sturb les gars
Jaimemabite
Ouai on est des gars, fier de l'etre. Oui Pogono on a des bites entre les pates, avec du poil autour et on est content de s'en occuper
Malade ou pas qu'importe moi j'assume totalement ce besoin que j'ai de me branler ...
Alors oui c'est pas évident à gérer parfois quand la bite réclame et que je suis dans un lieu public, oui c'est une réelle addiction comme l'alcool l'est pour certains, donc on vit avec... Et c'est une addiction dont je suis fier même si parfois elle me coupe du reste ... J'aime tellement ma queue qu'au
final rien ne peut m'empêcher de répondre a ses demandes!
Ca fait plaisir de voir que je ne suis pas seul!
A bientôt mes frères
Merci mon Thom, plaisir d'avoir ton commentaire. Oui c'est un besoin et on aime le donner a sa queue. C'est que du bonheur
Je t'ai découvertcet apres midi, ben quel plaisir, un vrai, un taré, un poilu,waouwwwww bienvenu ici
Mes commentaires sur l'article d'Onaniste se feront sous forme de 14 réflexions.
1. Pour vaincre notre dépendance à la masturbation, il faudrait trouver une autre dépendance aussi forte sinon plus forte, et cette dernière n'existe pas.
2. En lui-même, le mot maSTURBation, nous fait de l'effet.
3. Lutter contre la masturbation, c'est comme lutter contre un tsunami ou une tornade, le vainqueur est connu d'avance.
4. Les sensations que nous avons ressenties la toute première fois où nous avons joué à touche-pipi ont scellé notre relation future avec notre pénis : grosses sensations, gros besoins; petites sensations, petits besoins.
5. Comme le citait la revue "Cosmopolitan": la masturbation chez l'homme est un vrai besoin physique et une nécessité biologique. Il faut faire de la place au nouveau sperme produit.
Et nous, les accros, nous en produisons quotidiennement une quantité phénoménale.
6. Si le commun des mortels a des idées tordues et préconçues quant à la masturbation, c'est à cause de toutes les sales dénigrements véhiculées depuis des siècles contre le plaisir solitaire.
7. Personne ne contestera que les garçons aiment et aimeront toujours jouer, même devenu homme. Alors, qu'y a-t-il d'étrange ou d'anormal pour le mâle de jouer avec sa bite? L'homme a été créé ainsi, avec un puissant jouet rempli de millions de fibres et de terminaisons nerveuses toutes agréables et excitantes au toucher.
8. La pire souffrance pour un gros branleur, c'est quand, pour diverses raisons, la bite réclame et qu'il ne peut pas lui donner.
9. Si on se coupe de la société en passant trop de temps sur notre queue, c'est que celle-ci n'a rien de mieux à nous offrir.
10. Désormais, la masturbation est un plaisir qui se revendique, se conseille et se pratique de plus en plus.
11. La masturbation contribue au bon entretien du corps masculin. Dites-moi, pourquoi se priver d'une cure de jouvence et de plaisir?
12. Les statistiques révèlent que 90% des hommes se masturbent ou se sont déjà masturbés. Les 10% restants, selon moi, sont trop vieux, ont des problèmes érectiles ou possèdent une bedaine qui les empêchent de voir et d'atteindre leur queue. Sinon la totalité des hommes se masturberaient.
13. Si l'homme ne devait pas se masturber, sa queue aurait été placée à un endroit difficile d'accès sur son corps et non là où elle se trouve. Ou c'est sa main qui aurait été placée ailleurs.
14. Enfin, si la masturbation est une maladie, alors je me joins volontiers à Serge Lama, pour dire :"je suis malade, complètement malade. C'est ça, je suis malade."
abdos36
ehehhhh excellent abdos, le sturbeur dans tous ces état excellent
À propos de cette « souffrance » du sturbeur, pour moi c’est quand je sens (re)venir l’irrépressible besoin de la branle. C’est quand je me dis : « Putain, ça revient ! Je sens que c’est à nouveau là, entre les cuisses, entre l’anus et le gland, tout le long du périnée, de la verge et du frein, et que ça irradie dans les seins. C’est un flux qui passe comme un courant. Une exigence physique qu’il faut combler, impérativement. »
Ça se passe aussi dans la tronche. C’est le fait de me dire, pour la millième fois : « Mec, t’es un branleur ! Ta queue est de très loin ce qui te donne le plus de plaisir dans la vie. Mais quand elle en veut, quand elle réclame, qu’elle exige tyranniquement, tu DOIS lui donner. Tu n’as pas le choix. C’est le prix à payer pour avoir une queue entre les jambes, une queue généreuse qui te donne toute cette jouissance.
Les potes, dans ce moments-là, il m’arrive véritablement de souffrir. De me dire : « Putain, J’AI MAL ! J’ai mal à ma queue ! J’ai mal à mon désir ! Aidez-moi, j’en peux plus ! J’ai mal au sexe ! J’ai le mal de la branle ! ».
Et il va falloir que j’y passe, que m’y colle. Encore une fois. Comme je l’ai toujours fait. Et déjà je commence mes contractions périnéales. Ma main se dirige incoerciblement vers le paquet et l’agrippe, commence de le malaxer. Pour cela, il faut que je m’isole, que je trouve d’urgence des chiottes, ou au moins un coin retiré, pour me contracter tranquillement le système ano-génital, et me le toucher, me le frotter, au moins une ou deux pressions pour que je puisse calmer un peu la bête.
C’est aussi dans ces moments de « souffrance » qu’on est heureux d’avoir des potes de branle, et de pouvoir leur dire ça ! Les potes, en ce moment même, j’ai très mal à ma bite, et ça me fait du bien de pouvoir le dire ici.
Je tâte vos bites dégueulasses de branleurs.
j'adore quand tu parles, j'adore te lire car on le vit avec toi, c'est trop bon
Je partage tes souffrances de branleurs obsédés. Que veux-tu la bite est dominante et quand elle a besoin, impossible de lui refuser. Elle nous comble tellement.
J'aurais aimé cher frangin Onaniste que tu commentes mes 14 réflexions que j'ai écrites sur ton article.
J'ai pris 3 jours à pondre cela. Ça m'aurait fait plaisir de lire ce que tu en penses.
Nous sommes esclaves de notre pénis chéri, rien de moins. Nous n'y pouvons rien!
Laissons-nous aller.
abdos36
on est simplement à l'ecoute de notre queue, on est la pour lui faire du bien
vrai taré obsédé qui ne ch pas de remède.
Mon remède c est d'avoir ma pine et de pogner des heures
et de la partager avec des frangins aussi malade
je ferai un post sur cette obsession et ce que cela m 'amène à faire ( ou ne pas faire.
je vous laisse ma pine réclame déjà dès le levé avec dces envies de mater des pines
a plus
Ouaiiiiiii des heures la pine en mains, c'est clair,comme aujourd'hui ? trop bon frangin
au pieu je me tate la pine qui est deja raide
elle réclame. ! me lève allume l'ordi prend un café
vais au chiottes !
et là je sens que ca part.... matage de boulard................
envie de pines de branle de frangins odorants
et ne plus rien foutre d'autre que de ruter gooner et chasser du mâle comme moi.
ces situations sont très fréquentes où je ne pense qu'a trouver du branleur et bosser la viande
odorante de pisse et passer des heures et des heures à cà
former des clans d hommes entre eux sans femelle qui s'admirent se venerent se reniflent et "gooneent"
vrai obsession maladive que je ne veux pas soigner
je retourne sur la pine les frères
je connais tes délires, tes obsession frangin, c'est un plaisir de passer du temps bien long avec toi.
y a encore des places mon pote avec plaisir