super! c'est pour en arriver là qu'on branle et qu'on se gaze frère! tellement bon de se déformer la gueule au popps!

Putain, le To, il est super bien gaulé. Merci d'avoir partagé sa pine avec nous. Du super matos de branleur !

Super kiffantes aussi, les gueules de branleurs débiles. Oui, c'est là qu'on en arrive quand on se laisse aller et qu'on s'enfonce dans la branle jusqu'à l'abrutissement.

Ce qui me surprend toujours, c'est que parmi les figures de la déformation de nos tronches de branleurs, reviennent toujours la gueule ouverte et la langue pendante. Je me demande souvent pourquoi.

L'explication que j'y trouve, c'est que dans ce neuronage, on arrive à un état où l'intensité et l'accumulation de la jouissance nous font voisiner avec le dégoût, et où la distinction entre celui-ci et la jouissance sont près de s'annuler, et où les manifestations du dégoût commencent d'apparaître.

J'en veux pour preuve ces moments où, avec mon ex pote de branle, on parvenait à des états de jouissance masturbatoire tellement intenses et excessifs qu'il nous semblait que la prochaine étape de ce processus de jouissance ne pouvait consister en autre chose autre que de jouir en dégueulant.

Qu'en pensez-vous les accros, les neuroneurs, les gooners ?
Vous avez connu ça ?

Contrairement à toi, Onaniste, je n'associe pas du tout la langue pendante à une manifestation de dégoût. Quand je suis vraiment dans ma sturbe il m'arrive de sortir la langue, la bouche béante, en éructant des vagissements....mais pour moi c'est le signe du retour au stade animal enfin retrouvé et cette langue réclame une bite, des couilles, un cul à lécher... Je ne suis pas du tout branché gerbe, mais pas du tout, et pourtant ma langue sort! Comme quoi, tous les goûts sont dans la nature et rien n'est simple....