j'adore jouer avec mon prépuce, mais encore plus avec celui d'un bon pote bien poilu. on mate une queue et on devine un bon gros gland bien renflé sous le prépuce. je le prend entre les doigts, je serre un peu pour voir si une goutte de mouille va perler. je passe un doigt dedans pour voir si c'est humide, doucement je décalotte et c'est toujours la surprise! parfois je trouve un gland luisant de mouille que je m'empresse de toucher, de sniffer et de lécher, parfois un gros gland violacé ou rouge d'excitation, parfois un parfum masculin vient frapper mes narines et je vois un peu de frometon de ce matin. et j'adore frotter mon gland décalotté contre celui d'un pote surtout quand on mouille bien!

bonjour à vous tous frère de branle...tout comme vous, je raffole de prépuces...ce bout de chair qui enveloppe délicatement nos glands baveux et luisants...car je ne doute pas un instant et par expérience, que la plupart des prépuces laissent sécréter des mouilles abondantes et odorantes!...les queues dotées d'un prépuce sont certes plus sensibles aux mouvement de branle mais elles témoignent d'une excitabilité évidente et d'un activisme tout aussi flagrant!...très jeune, mon prépuce a éveillé ma curiosité et mon intérêt car je percevais qu'il générait en moi de l'envie et surtout du plaisir...autour de ce manche naissant et de ce gland encore novice aux délices des sens...mes activités masturbatoires se réduisaient aux picotements du gland à ce moment là et très vite vers mes 10ans, une formidable semence s'est mise à être libérée entre mes doigts...découvrant la jouissance du sexe!...c'était le début d'une véritable passion entre ma queue d'ado et mon prépuce dont les effluves ont très vite marqué mes sturbes...l'extase est bien sûr de jouer avec le prépuce d'un frangin, de l'humidifier de sa mouille, de le sniffer longuement de toute sa palette de fragrances et d'en manipuler les mouvemets d'étirements...humm je me régale des gémissements de mon frangin quand je joues de son prépuce et qu'il se tortille de plaisirs...jambes poilues écartées et bourses poilues pleines de semence à gicler...soyons fiers de nos prépuces, de nos glands ruisselants de mouille et de nos queues actives et brulantes d'envies!!...partageons nos expériences...jkc@gmx.fr....à vous lire

J'ai peine à m'exprimer devant ce torrent d'éloges dithyrambiques à la gloire du prépuce !

Mais je suppose qu'il fallait bien que s'élève une voix un peu dissonante. Et dise : "Désolé les mecs, mais le prépuce, c'est vraiment pas mon truc !"

Vous vous doutez bien que je n'écris pas du tout ceci pour le plaisir de jouer les trouble-fête. Mais en effet, et bien que j'en sois moi-même pourvu, je n'aime pas les prépuces ! Et j'imagine que je ne suis pas le seul ici. Je trouve, si vous me permettez, que "ça fait bidoche", que ça a un côté "gamin pas fini". Et en vous disant cela, je sens bien d'une part ce que cela a de subjectif et d'arbitraire et, d'autre part, que ce sont peut-être là les raisons même pour lesquelles vous aimez les prépuces.

Au contraire, mon goût est allé croissant pour les BITES CIRCONCISES, les glands décalottés en permanence, les circoncisions réalisées tellement à ras de la verge que les érections sont intensifiées, qu'on les imagine même presque douloureuses, qu'il semble que les glands sont tellement tendus qu'ils sont prêts à éclater. J'aime ces bites auxquelles la circoncision magnifie en quelque sorte l'importance et la taille, au moins apparente, du gland.

Il est vrai que je vis depuis longtemps au milieu d'un peuple qui pratique systématiquement ce sacrifice rituel de la bite du jeune garçon, lequel fait, à travers cette douleur bien réelle, l'expérience symbolique de l'acquisition de la virilité. Un peuple chez lequel un des premiers réflexes que doit acquérir le branleur est de se cracher dans la paume, ou directement sur le gland, en visant bien. Un peuple chez lequel le branleur confirmé prévoit toujours un lubrifiant pour accompagner et faciliter son geste.

Mais n'exagérons tout de même rien. Pour qui n'est pas un fétichiste du prépuce, le décalottage est un des gestes masturbatoires les plus faciles à pratiquer ; certains cockrings permettent de maintenir le gland à découvert. Et personne n'est obligé, s'il n'aime pas trop ça, de se livrer à des jeux de prépuce.

Il en est même un qui me plaît assez : c'est le "docking", ce jeu qui consiste à introduire le gland dans le prépuce de son partenaire et à se masturber ainsi dans un rapprochement — on pourrait presque dire un "coït" — très intime. Le "pénétrant" et le "pénétré" peuvent même ainsi échanger mouille, pisse et sperme.

Vous voyez qu'au fond, je ne suis pas sectaire !

Je vous décalotte amicalement.