Cher Mika,
Chers amis branleurs,


heureux de vous retrouver ici. En effet, voilà plusieurs semaines que le blog était en jachère ou presque, et je me désolais de le trouver déserté chaque fois que je m’y connectais pour y dialoguer avec des frères de branle…

À Mika et à tous, bien entendu, tous mes souhaits pour cette année, de santé et de vie heureuse et réussie.

Et que vous trouviez dans la masturbation les satisfactions que vous en attendez.

Pour commencer l’année, je poste aujourd’hui ce message, dans lequel j’aimerais vous faire partager l’expérience d’une pratique à laquelle mon pote et moi nous livrons en ce moment, et à propos de laquelle nous aimerions échanger un peu ici avec vous. La voici :


Les deux mecs sont couchés côte à côte sur le dos.

Ils replient les jambes sur la poitrine. Jambes ouvertes, ils laissent s’ouvrir les anus. (Accessoirement – c’est le cas de le dire ! – on peut réaliser la posture et les mouvements qui suivent en insérant des godes ou des plugs dans les anus. Dans ce cas, je recommande fortement un gode de type Aneros, qui convient aux masturbations sans les mains.)

Si les queues ne bandent pas encore, on les branle pour les durcir.

Les mecs lubrifient leurs bites, mais aussi l’intérieur des cuisses, généreusement.

On repousse en avant les bites de telle sorte qu’elles puissent être enfermées entre les cuisses.

On tire les couilles en arrière, on referme les cuisses sur les bites, et on serre.

Ici, différents mouvements sont possibles :
on masse les bites avec les cuisses avec des mouvements alternés
on branle les bites en avançant et reculant les cuisses en parallèle. Le mouvement peut être rapide ou lent. La bascule du bassin peut accompagner et aider à ce mouvement de branle

Mais ce que mon pote et moi aimons le plus pratiquer est ceci :

On baisse (plus ou moins) lentement les cuisses vers l’avant. Les bites se dégagent et apparaissent, le gland en premier. Grâce à ce mouvement et à la pression exercée par les cuisses sur les bites, le décalottage, la tension du frein et le gonflement du gland sont à leur maximum : pour cela les couilles doivent rester comprimées derrière les cuisses fortement serrées, pour assurer la fermeté de la prise.

À ce stade, on peut arrêter le mouvement pour travailler les glands :
sturbe plus ou moins appuyée : plus la lubrification est généreuse, plus la sturbe peut être intense
plus violent : on gifle les glandos, de préférence en frappant le frein, de bas en haut

On peut faire varier le mouvement, et dégager brusquement les glands en rabaissant brusquement les cuisses qu’on garde très fortement serrées. Les bites se dressent brutalement, les freins se tendent au maximum, et les glands se gonflent d’un coup. Sensation très intense dans toute la bite, qui peut s’approcher du « plaisir douloureux » que les branleurs intenses connaissent bien.

Une variante de ce mouvement peut être réalisée en transposant la posture couchée en posture debout. Les mecs sont côte à côte ou face à face, penchés en avant, genoux légèrement pliés. On tire les couilles en arrière pour décalotter au maximum et placer les bites entre les cuisses, qui doivent être serrées fermement. La projection des bites se fait en relevant le buste et en dépliant les genoux, tout en veillant à bien garder les cuisses serrées et les couilles maintenues en arrière.

Ce mouvement peut se réaliser soit lentement (même très lentement), soit brusquement, selon que l’on préfère une jouissance lente et contrôlée, ou plus brutale et plus sauvage. La posture d’arrivée est évidemment la même, la base de la bite et les couilles toujours prises entre les cuisses serrées. On peut alors placer les bites l’une contre l’autre face à face et les frotter, ou procéder à une branle (de chacune des bites ou des deux ensemble), ou les gifler et les frapper…

Mais que l’on soit debout ou couchés, un mouvement intéressant et assez jouissif consiste à se replacer dans la position de départ, bites et glands serrés entre les cuisses rapprochées du tronc (genoux pliés et corps baissé en avant si l’on est debout), puis à dégager comme précédemment les glands et les bites.

Puis on retourne à la position initiale, couilles bites et glands enserrés entre les cuisses. Puis nouveau mouvement de projection du gland et de la bite. Puis retour. Puis nouvelle projection. Puis retour. Puis projection. Et ainsi de suite, en veillant toujours à garder les couilles maintenues serrées à l’arrière des cuisses…

Surtout lorsqu’on est sur le dos, ce mouvement peut être réalisé de plus en plus rapidement, jusqu’à atteindre un rythme masturbatoire assez soutenu, dans lequel tout le corps participe.

On peut alors tenter d’atteindre l’orgasme de cette manière…


Je pense que beaucoup de branleurs pratiquent ou ont pratiqué, régulièrement ou non, ces mouvements de sturbe. Mon pote et moi les pratiquons assez régulièrement en ce moment, et il nous plairait de partager cette expérience avec vous, de connaître vos habitudes, ainsi que vos impressions et sensations…

les photos sont sublimes, des bonnes queues, du poil, ça gonfle dans mon slip!

bonne année masturbatoire, onaniste, branleuse, pignoleuse à tous les frangins de quequette