Mardi 9 juillet
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09
/07
/Juil
22:22
Salut les masturbateurs,
Eh ouai, suis désolé mais ces derniers temps suis plutôt assez rare sur le blog.
Les mises à jour son rare, mais avec les températures estivale, je suis en rute tout le temps.
Je suis donc enmasturbation très souvent ce qui neme permet pas toujours d'ecrire, mais plutôt matter, tchater et ruuuuter.
Mais mes besoins de partager sont toujours très grand.
Alors voilà, quelques photos et vidéos pour mes frères accro.
Pour commencer, on va tout de suite matter une bonne queue, de tres belle taille, grosse touffe de poils et un bon prépuce.
C'est ça un bon zob pour moi.
Mon amour pour la sturbe se traduit très souvent par des longues session, qui se finissent en rale, en rute.
Le gars la je l'ai trouvé sur le net, je suis sur que non seulement il doit passer des heures mais ca doit etre un gros gooner.
Alors s'il y a des endroits que je kiff sur un mec, c'est bien les endroits qu'on mattent jamais.
Alors les queues, les aisselles, ou autres tétons m'excite. Mais je suis assez kiffeur de pannards.
Je pense que cette brochette ne nécessite aucun commentaire ....
Qaund on est gros obsédé, ben on est souvent comme lui, en rute.
Moi j'adore etre dans cet état et matter un frangin comme ca.
Quand il se déforme bien la tronche. MMMHHHHH ça me rappelle quelqu'un ça,surtout avec du Gaz....
Quand je parle de Gaz, j'adore matter un pif avec la fiole.
Sur malemotion, j'ai trouvé quelques vidéos kiffantes, alors en voilà 2 :
Celle la, une bonne complicité
Je trouve ce corps parfait, sa queue bien épaisse et une grosse touffe, alors voilà :
Je rajoute celle la, car je trouve super kiffante.
Et le prépuce yessssss
Voilàles sturbeurs.
En esperant que ça te plaise. Tu peux toujours me contacter pour dial : skype : poilucho1 et mail : masturbation68@hotmail.fr
A tres bientot
J'te kisssss
Il me touche particulièrement ce blog que je viens de découvrir. Au fil des articles quelques mots qui m'ont poussé à lâcher un commentaire : frangin de sturbe, odeurs et sueur, gars naturels qui s'épilent pas les aisselles, petite brise fraiche chatouillant les couilles à l'air libre, bon prépuce... Je suis de ceux qui se branle beaucoup et qui aime ça, parfois pendant des heures jusqu'à ne plus en pouvoir, tout en kiffant les odeurs. Et partager avec un gars des moments de longues sturbes intimes ça doit être sacrément sympa.
salut p"tit gars tu es le bienvenu sur l blog, ici pas de gene, on est sturbeur et fier de l'etre
Un garçon qui se branle des heures jusqu'à ne plus en pouvoir, c'est un autre nous mêmes, c'est notre frère, notre Frère de Sturbe. Un branleur qui kiffe les odeurs corporelles, la sueur, les odeurs de sexe, qui sniffe la pisse qui jaunit la poche des ses slobs ou de ceux de ses potes, c'est notre Frère de Sturbe !
Quand tu te branles jusqu'à ne plus en pouvoir, es-tu de ceux qui orgasment et jutent à répétition jusqu'à l'épuisement, voire l'abrutissement, pour essayer d'essorer complètement ses couilles et son désir (si une telle chose est possible pour un accro de la branle ?!…) ?
Ou bien t'acharnes-tu sur ton système génito-urinaire le plus longtemps possible, en contrôlant tes montées de jus afin de pouvoir faire durer ton excitation au maximum ? Et cela, également, pendant des heures et des heures, jusqu'à atteindre, par une voie masturbatoire différente, et que tu éjacules ou non, ce même état d'abrutissement, qui est plutôt une sorte de transe sexuelle.
Parle nous de toi ! Tes Frères de Sturbe t'écoutent, te comprennent et t'encouragent !
Je palpe amicalement et fraternellement ta queue de sale branleur !
quand on est des accro, des obsédé, on se comprend et ca fait du bien de se retrouver entre nous
par ce temps je n'ai plus aucun contrôle sur moi-même, il faut que je me branle. Je commence dans la soirée et finit dans la nuit, d'une manière totalement débile, comme si la notion de temps n'existait plus. Je divague totalement sur ma queue, j'aime être dans cet état ça me rend dingue!!
rien que de lire toncommentaire me fout la bite en l'air. C'est trop bon perdre le controle de sois. Si tu veux parler chat ou mail, contacte moi : skype : poilucho1 ou mail : masturbation68@hotmail.fr
tu as bel et bien ta place ici, waouwww c'est excitant de te lire mec
Minetnature, merci d’avoir répondu si vite et si complètement à ma question ! Je suis impressionné et ému par ton témoignage : si sincère, et si proche de la réalité que nous vivons tous ! Comment le dire mieux ?! Oui, tu es l’un des nôtres, nous sommes toi et tu es nous. Curieusement les branleurs, qu’on accuse de pratiquer un « vice solitaire » ont un sens étonnant et profond de la fraternité ! Et crois moi, ça fait un bien immense de voir que l’espace que nous partageons tous ici te permet d’exprimer aussi bien, et avec des mots si justes et si beaux, ce qu’est ta sexualité, notre sexualité, de branleurs !
Je vous livre ci-après les réflexions que vos propos, Juan Carlos et Minetnature, m’ont inspiré. Et pardonnez-moi si, comme d’habitude, je suis un peu… prolixe. Mais je parle là d’un sujet qui me tient tellement aux tripes, qui est tellement lié à mon identité sexuelle profonde !
En vous lisant, je me dis qu’il faudra bien qu’un jour des chercheurs en neuropsy s’intéressent à notre « population ». Or celle-ci n’est pas rien, même si les masturbateurs manquent de visibilté pour plusieurs raisons. D’abord à cause de la réprobation sociale et de l’idéologie « sexuellement correcte » qui prévaut encore plus qu’on ne le pense (C’est bien de baiser, mais ça l’est beaucoup moins de NE PAS baiser !) Ensuite parce que, en conséquence, beaucoup de jeunes gens qui auraient vocation a vivre une sexualité masturbatoire hésitent à le faire ou ne le font pas, et attendent parfois longtemps avant d’opter pour la sexualité masturbatoire qui est véritablement la leur.
Mais il serait tout de même intéressant que les scientifiques nous expliquent ce qui se passe dans notre système nerveux et mental… même si, à l’évidence, cela ne changera rien à nos pratiques : le but est de décrire, de comprendre et d’expliquer, non de modifier ! Il est de valider une sexualité à part entière, qui ne dérange personne, et satisfait immensément ceux qui la pratiquent !
Que dit Juan Carlos ?
« Il faut que je me branle. » Il parle de la compulsion. De cette force parfois irrépressible qui nous pousse à rechercher le plaisir sexuel, et à le rechercher sous la forme de la masturbation : en solo, à deux ou à plus, et non sous une autre forme de sexualité, notamment en excluant les principales formes de pénétration.
Notre sexualité de branleurs, qui est de type érotomaniaque, est-elle une addiction ? Probablement, et nous mêmes aimons facilement employer ce mot. Mais s’agit-il d’une addiction nocive ? Rien n’est moins sûr. Elle ne coûte rien ! Les drogues dont elle a besoin sont fabriquées par notre propre organisme, et elle n’occasionne donc aucun trafic illicite ni délinquance ! Et elle n’affecte probablement pas plus la santé que ne le font les courses des marathoniens ! Le tabac, l’alcool et les drogues dures ou douces me semblent des addictions autrement plus dommageables à la société et aux individus que les manipulations que nous accordons à nos bites et à celles de nos partenaires branleurs.
Il existe donc une addiction socialement et individuellement innocente : et c’est la masturbation !
Juan Carlos écrit aussi :
« Je n'ai plus aucun contrôle sur moi-même. »
« Comme si la notion de temps n'existait plus. »
« D’une manière totalement débile. »
« Je divague totalement sur ma queue, j'aime être dans cet état ça me rend dingue ! »
De plusieurs manières, il dit la même chose : il parle de notre extase. Il dit que la masturbation est un exercice sexuel qui, lorsqu’il est pratiqué adéquatement, permet aux individus d’accéder à des états supérieurs de jouissance, à une espèce de transe.
Et cette transe, il la décrit chaque fois comme ce qui m’apparaît, à moi qui n’y connais pas grand chose en cette matière, une déconnexion du cerveau néo-cortical – du cerveau rationnel, ou même de celui qui gouverne les fonctions langagières – des autres parties plus « primaires » du cerveau (le cerveau « limbique » ?) qui gouvernent, elles, les fonctions de base, nos « instincts ». Et c’est, me semble-t-il, cette déconnexion qui fait que nous avons l’impression de « régresser » vers un état infra-rationnel, qui fait que « nous ne sommes plus qu’une queue », que nous ne prononçons plus de paroles articulées, mais des borborygmes informes, que nous « divaguons » dans un état qui n’est « débile » que parce qu’il échappe à notre cerveau rationnel. Cet état « animal » dont parle Minetnature, qui fait partie intégrante de notre être biologique, qui, pour être animal, n’en est pas moins humain, et que, pour cette raison même, nous avons besoin de retrouver, et dans lequel il fait si bon se rouler ou même se… vautrer si ça nous fait plaisir !
Dans ces moments-là en effet, où les barrières ont sauté, – ou plutôt, où elles se sont élevées entre nos différentes zones cérébrales – l’instinct et le désir de jouissance sexuelle prennent le dessus sur le sens du contrôle de soi, des obligations sociales, du rythme du temps.
Et cela dans un état de jouissance intense, lui-même parfois voisin du dégoût, quand il ne se confond pas avec lui : c’est d’ailleurs ainsi que j’interprète cette figure familière des branleurs abrutis que nous sommes qui, dans les moments d’abandon à la jouissance sexuelle profonde, tirent la langue, dans un geste qui est proche d’un geste de dégoût et de l’envie de vomir (il y a certains d’entre nous qui aiment parvenir jusque là)…
C’est ce qu’en anglais, on appelle le gooning, mais rien ne nous empêche de l’appeler ou l’abrutissement, l’hébètement, ou l’extase sexuelle, ou encore d’autres mots, selon notre expérience et notre choix.
Je crois donc qu’ici la neuropsychiatrie pourrait nous être utile à comprendre ce qui se produit. Que se passe-t-il dans ces moments ? Quelles sont les substances biochimiques qui entrent en cause ? La dopamine ? D’autres neuro-transmetteurs ?…
En tout cas, rien d’étonnant à ce que, toute notion du temps abolie, Juan Carlos et beaucoup d’entre nous, consacrions des soirées, des journées entières, des weekends… à nous astiquer les organes sexuels, à nous tripoter et nous masser les queues de toutes les manières possibles et imaginables, à pratiquer ce que nous aimons appeler la « sturbe ». À nous faire péter des orgasmes répétés pour nous essorer les couilles et nous vider la pompe à sperme ou, au contraire, à contrôler nos montées de jus pour nous retenir sans fin de jouir et faire, c’est bien le cas de le dire ! de « faire durer le plaisir » au maximum.
Mais cela toujours dans le but d’atteindre la jouissance ininterrompue… jusqu’à l’épuisement de nos capacités physiques et de notre désir !
Je tâte amicalement vos queues de branleurs !
tu as un dons pour l'ecriture, tu as un dons de psy, et surtout tu es comme nous, accro à tes organes et tu cherches à comprendre, savoir et analyser. Je troive excitante cette quète
Minetnature, merci d’avoir répondu si vite et si complètement à ma question ! Je suis impressionné et ému par ton témoignage : si sincère, et si proche de la réalité que nous vivons tous ! Comment le dire mieux ?! Oui, tu es l’un des nôtres, nous sommes toi et tu es nous. Curieusement les branleurs, qu’on accuse de pratiquer un « vice solitaire » ont un sens étonnant et profond de la fraternité ! Et crois moi, ça fait un bien immense de voir que l’espace que nous partageons tous ici te permet d’exprimer aussi bien, et avec des mots si justes et si beaux, ce qu’est ta sexualité, notre sexualité, de branleurs !
Je vous livre ci-après les réflexions que vos propos, Juan Carlos et Minetnature, m’ont inspiré. Et pardonnez-moi si, comme d’habitude, je suis un peu… prolixe. Mais je parle là d’un sujet qui me tient tellement aux tripes, qui est tellement lié à mon identité sexuelle profonde !
En vous lisant, je me dis qu’il faudra bien qu’un jour des chercheurs en neuropsy s’intéressent à notre « population ». Or celle-ci n’est pas rien, même si les masturbateurs manquent de visibilté pour plusieurs raisons. D’abord à cause de la réprobation sociale et de l’idéologie « sexuellement correcte » qui prévaut encore plus qu’on ne le pense (C’est bien de baiser, mais ça l’est beaucoup moins de NE PAS baiser !) Ensuite parce que, en conséquence, beaucoup de jeunes gens qui auraient vocation a vivre une sexualité masturbatoire hésitent à le faire ou ne le font pas, et attendent parfois longtemps avant d’opter pour la sexualité masturbatoire qui est véritablement la leur.
Mais il serait tout de même intéressant que les scientifiques nous expliquent ce qui se passe dans notre système nerveux et mental… même si, à l’évidence, cela ne changera rien à nos pratiques : le but est de décrire, de comprendre et d’expliquer, non de modifier ! Il est de valider une sexualité à part entière, qui ne dérange personne, et satisfait immensément ceux qui la pratiquent !
Que dit Juan Carlos ?
« Il faut que je me branle. » Il parle de la compulsion. De cette force parfois irrépressible qui nous pousse à rechercher le plaisir sexuel, et à le rechercher sous la forme de la masturbation : en solo, à deux ou à plus, et non sous une autre forme de sexualité, notamment en excluant les principales formes de pénétration.
Notre sexualité de branleurs, qui est de type érotomaniaque, est-elle une addiction ? Probablement, et nous mêmes aimons facilement employer ce mot. Mais s’agit-il d’une addiction nocive ? Rien n’est moins sûr. Elle ne coûte rien ! Les drogues dont elle a besoin sont fabriquées par notre propre organisme, et elle n’occasionne donc aucun trafic illicite ni délinquance ! Et elle n’affecte probablement pas plus la santé que ne le font les courses des marathoniens ! Le tabac, l’alcool et les drogues dures ou douces me semblent des addictions autrement plus dommageables à la société et aux individus que les manipulations que nous accordons à nos bites et à celles de nos partenaires branleurs.
Il existe donc une addiction socialement et individuellement innocente : et c’est la masturbation !
Il faudrait que je cite la totalité du message de Minetnature, relisez-le, je vous en prie ! Mais Juan Carlos écrit aussi :
« Je n'ai plus aucun contrôle sur moi-même. »
« Comme si la notion de temps n'existait plus. »
« D’une manière totalement débile. »
« Je divague totalement sur ma queue, j'aime être dans cet état ça me rend dingue ! »
De plusieurs manières, il dit la même chose : il parle de notre extase. Il dit que la masturbation est un exercice sexuel qui, lorsqu’il est pratiqué adéquatement, permet aux individus d’accéder à des états supérieurs de jouissance, à une espèce de transe.
Et cette transe, il la décrit chaque fois comme ce qui m’apparaît, à moi qui n’y connais pas grand chose en cette matière, une déconnexion du cerveau néo-cortical – du cerveau rationnel, ou même de celui qui gouverne les fonctions langagières – des autres parties plus « primaires » du cerveau (le cerveau « limbique » ?) qui gouvernent, elles, les fonctions de base, nos « instincts ». Et c’est, me semble-t-il, cette déconnexion qui fait que nous avons l’impression de « régresser » vers un état infra-rationnel, qui fait que « nous ne sommes plus qu’une queue », que nous ne prononçons plus de paroles articulées, mais des borborygmes informes, que nous « divaguons » dans un état qui n’est « débile » que parce qu’il échappe à notre cerveau rationnel. Cet état « animal » dont parle Minetnature, qui fait partie intégrante de notre être biologique, qui, pour être animal, n’en est pas moins humain, et que, pour cette raison même, nous avons besoin de retrouver, et dans lequel il fait si bon se rouler ou même se… vautrer si ça nous fait plaisir !
Dans ces moments-là en effet, où les barrières ont sauté, – ou plutôt, où elles se sont élevées entre nos différentes zones cérébrales – l’instinct et le désir de jouissance sexuelle prennent le dessus sur le sens du contrôle de soi, des obligations sociales, du rythme du temps.
Et cela dans un état de jouissance intense, lui-même parfois voisin du dégoût, quand il ne se confond pas avec lui : c’est d’ailleurs ainsi que j’interprète cette figure familière des branleurs abrutis que nous sommes qui, dans les moments d’abandon à la jouissance sexuelle profonde, tirent la langue, dans un geste qui est proche d’un geste de dégoût et de l’envie de vomir (il y a certains d’entre nous qui aiment parvenir jusque là)…
C’est ce qu’en anglais, on appelle le gooning, mais rien ne nous empêche de l’appeler ou l’abrutissement, l’hébètement, ou l’extase sexuelle, ou encore d’autres mots, selon notre expérience et notre choix.
Je crois donc qu’ici la neuropsychiatrie pourrait nous être utile à comprendre ce qui se produit. Que se passe-t-il dans ces moments ? Quelles sont les substances biochimiques qui entrent en cause ? La dopamine ? D’autres neuro-transmetteurs ?…
En tout cas, rien d’étonnant à ce que, toute notion du temps abolie, Juan Carlos et beaucoup d’entre nous, consacrions des soirées, des journées entières, des weekends… à nous astiquer les organes sexuels, à nous tripoter et nous masser les queues de toutes les manières possibles et imaginables, à pratiquer ce que nous aimons appeler la « sturbe ». À nous faire péter des orgasmes répétés pour nous essorer les couilles et nous vider la pompe à sperme ou, au contraire, à contrôler nos montées de jus pour nous retenir sans fin de jouir et faire, c’est bien le cas de le dire ! « durer le plaisir » au maximum.
Mais cela toujours dans le but d’atteindre la jouissance ininterrompue… jusqu’à l’épuisement de nos capacités physiques et de notre désir !
Je tâte amicalement vos queues de branleurs !
Eh eh tu as raison
Merci de nous donner tes coordonnées. Mais nous aimerions aussi que tu partagesavec nous ton expérience de taré de la sturbe. Ce blog est là pour ça.
À bientôt pour des nouvelles de ta vie de branleur. Astique toi bien. On t'encourage, et on te branle amicalement et fraternellement la teub.
Onaniste
J'espere aussi avoir un beau partage