au début, on voudrait en choisir et après (très vite) on les aime toutes tes photos qui font neuronner frangin

J'ai (encore) jamais eu la chance d'avoir un vrai frangin de sturbe, mais je partage totalement ton avis. La complicité entre frangins, ça doit être un truc totalement magique à vivre: partage des émotions, s'encourager, progresser ensemble... Je rêve de vivre ça un jour!

1.

Qu’il soit bien clair, d’emblée et une fois pour toutes, que nous ne parlons, que je ne parle pas, ici :
Ni de père et de fils biologiques. Donc que nous ne parlons pas d’inceste. D’où les guillemets que j’essaie de mettre chaque fois que je parle de « père » ou de « papa », et de « fils » ou de « fiston » : ces mots n’ont de valeur ici que métaphorique pour désigner un homme mûr et son partenaire plus jeune, quelle que soit la différence d’âges.
Ni de relation majeur-mineur ; donc que nous ne parlons pas de pédophilie, et qu’il n’est à aucun moment question d’en faire l’apologie.

À propos de ce dernier point, qui a naturellement et prudemment été soulevé par plusieurs ici, qu’il soit bien clair aussi qu’à partir du moment où le partenaire le plus jeune est âgé de 18 ans et un dixième de seconde, il est majeur. Que la loi est respectée. Et ce quelle que soit la différence d’âges entre ces deux partenaires majeurs. Et que les esprits chagrins et prompts à s’offusquer, les moralistes et autres donneurs de leçons peuvent ravaler leurs haut-le-cœur, et aller se rhabiller et/ou s’occuper de leurs fesses au lieu de ce que nous faisons de nos bites.

Comme le dit Esteban, dont il me plaît de citer les belles paroles : « Cessons de tout rapporter aux sacrosaintes conventions qui régissent nos sociétés ; débarrassons nous du poids de plein de choses, vivons et évoluons vers le partage, la complicité et la nudité intergénérationnelle ! C'est de l’amour au sens le plus large, non ? » Et comme le dit Mika avec une belle simplicité : « C’est très naturel je trouve, c'est vraiment un échange a part entière. »

Ceci précisé, j’adresse ici à Mika le plus chaleureux remerciement que je lui aie jamais exprimé sur ce blog, même si jusqu’à maintenant je n’en ai pas été avare, car il les mérite amplement. En effet, si aucun frère ici n’ignore qu’il a à faire avec moi à un accro de la masturbe, j’ajoute que, esthétiquement et affectivement, je suis un branleur qu’émeuvent au plus profond de lui-même les jeunes gens, leurs corps, leurs sexualités, leur tendresse, leur beauté. Et que, sans bien sûr dénigrer aucunement les relations entre personnes du même âge, rien ne me paraît, surtout du point de vue affectif et sentimental mais aussi sexuel, plus riche, plus beau, plus attendrissant, que les relations intergénérationnelles. Certains ici, plus nombreux que ne l’aurais imaginé, viennent d’en parler de façon émouvante.

Alors non, cher Mika, tu n’as heurté aucune sensibilité et, comme le disent tes propres paroles, tu nous donne l’occasion d’aborder ici une des plus belles formes possibles de « complicité » entre potes masturbateurs majeurs et responsables.

Un très heureux hasard (mais en est-ce vraiment un ?) fait que, il y a seulement quelques jours, j’ai éprouvé le besoin de mettre par écrit le récit d’une expérience récente, que je qualifierai de « sturbe totale », avec mon jeune amant, dont je vous précise tout de suite qu’il a 19 ans, et que, selon les lois qui régissent le pays où nous vivons, il est majeur, même si la différence d’âges entre nous fait que je pourrais être son arrière-arrière-grand-père (pardonnez moi si j’essaie de me rajeunir un peu, mais c’est humain !…). Je me demandais s’il était opportun que je publie ce récit sur le blog, mais à la lecture de ce passionnant article et des commentaires de qualité qui le suivent, je suis persuadé qu’il y a une place légitime, et je ne tarderai pas à le mettre en ligne ici même.

Salut ! Je découvre ton site, merci, c'est top !
J'ai beaucoup aimé cet article, tu parles de ce que j'appelle "la bonne camaraderie virile". C'est précisément ce qui est génial entre mecs, pouvoir jouer avec nos teubs en toute simplicité, et en toute complicité. Parler cul, jouer avec nos queues, se lancer dans des petits jeux virils (se comparer la taille des queues, voir lequel jute le plus...)
J'ai déjà pratiqué les plans avec des frérots de branle et d'autres plan fiston/papa. C'est excellent de pouvoir bénéficier de l'expérience virile d'un mec plus expérimenté, de pouvoir aussi profiter de son corps, plus charpenté, plus poilu.
J'espère quand je serai dans la catégorie "daddy" que je pourrai partager mon expérience avec de nombreux jeunes mecs.
Bises partout, et bravo pour le boulot réalisé sur ce site !

Intense séance de branle la nuit dernière avec mon jeune pote. On avait commencé en début de soirée en s’astiquant mutuellement les queues à travers les survêts, puis on les avait ensuite baissés, et on avait continué avec de la branle à travers les slobs, qu’on avait bien mouillés, mais sans jouir, en se « réservant » pour plus tard.

Donc, branle « totale » : des seins, de l’anus, de la bite.

Il a un beau gland charnu, qu’il aime se faire branler avec insistance jusqu’à la douleur. « Fais moi mal au gland ! ». On lubrifie abondamment son organe, et je l’astique comme un dément. Il gueule, il a mal. Et je continue. D’habitude jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus, et éclate en balançant tout son jus.

Mais hier soir, variante : « Frustre moi la queue ». Cela consiste – au moment où la queue a été branlée tellement violemment qu’elle ne désire plus que d’être libérée par une dernière sturbe vigoureuse, suivie de l’orgasme et de l’éjaculation – à ne plus la branler qu’ a minima : juste un très léger effleurement avec les doigts en anneau. Le mec se met à gueuler parce que sa queue n’en peut plus : il veut une masturbation intense, violente, et libératrice. Mais en même temps, il ne la veut pas, et il sait que je le sais. Alors je ne lui donne plus que ces très légers effleurements. « Ah ! Tu me frustres la queue ! ». Il souffre et jouit en même temps de cette frustration et de cette souffrance même.

Et là, c’est l’effleurement le plus léger qui a fini par lui arracher son orgasme et sa giclée.

Moi, j’ai sniffé son slip pisseux aux odeurs profondément viriles, et qui a sur moi l’effet d’une drogue aphrodisiaque, pendant qu’il me suçait et me branlait les seins. Et c’est comme ça que j’ai joui quelques instants après.