Avec mon jeune partenaire, on se branle furieusement les seins.
Ça nous prend soudain, comme toutes les envies de branle.
On se met face à face et on se pince mutuellement les tétons.
On essaie de trouver la limite entre le plaisir et la douleur et dès que le seuil est atteint, on relâche la pression pour calmer le jeu, et pouvoir reprendre un peu plus tard, en essayant de repousser chaque fois la limite un peu plus loin.
Parfois aussi, on a besoin de se branler nous-mêmes les seins, comme cela arrive pour la bite. Pour mieux contrôler et doser les frottements du branlage. On le fait en général en se frottant les pointes durcies des seins assez rapidement avec plusieurs doigts, en branlant ainsi les deux seins simultanément, chacun avec les doigts d’une main.
Cela peut donner des frottages assez intenses.

On lâche la branle des seins quand on a besoin de nos mains pour se branler les bites, ou bien on laisse une main sur les seins, et on frotte les bites avec l’autre.

On est des vicieux de la branle totale : seins, bites, anus. On se « triangule » les trois zones pour les mobiliser, soit successivement, soit en même temps. Comme on n’a que deux mains, on a recours à une stimulation mécanique d’au moins une zone : cockrings sur les bites, pinces ou piercing sur les seins, godes dans les anus.