Le blog de accromasturbation
Salut les queutards,
J'espere que tout va bien pour chacun d'entre vous.
Putain que de beaux commentaires suite à l'artcile onanste.
Alors ce soir je vous propose sa réponse à une question que j'avais posé il y a quelques mois.
Régalez vous,
" 1. Quand as-tu commencé la masturbation, et surtout à quel moment t’es-tu senti accro, obsédé et taré de sturbe ?
J’ai commencé tellement tôt que je ne sais plus exactement quand c’était.
En tout cas bien avant d’avoir des poils à la bite et de juter. J’ai le souvenir de m’être toujours tripoté ma petite queue glabre de gamin. Je m’inventais ce que je n’appelais pas à l’époque des
sex-toys : ligatures avec des bandes élastiques, je pissais dans des bouteilles en plastique et je me branlais la queue dans la bouteille remplie de liquide chaud et odorant…
Et puis un jour, alors que j’avais dû faire ça très longtemps assis sur les chiottes, je me suis senti déchiré par une sensation nouvelle et fulgurante, tellement intense et agréable qu’elle
était une sorte… d’écœurement délicieux ! Comme lorsqu’on s’est trop gavé de sucreries. Et j’ai eu très vite l’envie de recommencer.
Évidemment, c’était bien avant que ma queue produise du jus. Mais je me rappelle que, d’instinct et peut-être aussi parce que des copains me l’avaient dit, j’avais le sentiment que quelque chose
devait sortir de cette putain de petite bite. Alors, comme je n’avais que de la pisse à donner, je pissais comme un dément : je forçais sur ma queue pour franchir la barrière de l’érection,
et je pissais tout ce que je pouvais.
C’est donc comme ça que, pendant longtemps, je me suis branlé : je le faisais dans mes slips à poche, que je dégueulassais comme un pervers que j’étais déjà. Ma queue de jeune ado macérait
constamment dans une poche humide et souillée, qui puait fort.
Depuis, je suis un pisturbeur acharné.
[Je t'envoie une pic de pisturbe pour illustrer !]
Obsédé, je l’ai donc été dès le début de ma vie sexuelle plutôt précoce. Ca n’a fait que se confirmer quand j’ai commencé de juter, et de savoir que je pouvais avoir un pouvoir total sur
mon corps en contrôlant mes sturbes et mes éjacs. Très tôt donc, je me suis fait des séances de sturbe longues et répétitives. Assez vite aussi, j’ai eu envie de m’abrutir à la sturbe, jusqu’à
atteindre cet état de régression infra-rationnelle et extatique où l’animalité pure ressurgit, et où on émet des sons inarticulés.
Quant à m’assumer et me décrire comme un accro de la sturbe, un véritable onaniste s’assumant comme tel, c’est venu beaucoup plus tard, une fois que j’ai réussi à me débarrasser de tous les
préjugés moraux et médicaux qui plombent cette « maladie » sexuelle ; quand j’ai fini par y voir une forme comme une autre de sexualité, à part entière, aussi digne, satisfaisante
et relationnelle que la sexualité de pénétration."
Voilà, c'est bon hein, c'est chaud, c'est comme on kiffffff
Onaniste m'a envoyé des photos qui le faisait kiffer avec un petit texte comme il aime faire, alors voilà :
"
Slobs, Jocks, Jeans, Sous-vêts, Paquets, etc.
Célébration du paquet.
Les tous premiers émois de l’amateur de bites. C’est là-dedans que se niche la bite, le saint graal ! Dans les jeans moulebite, dans les shorts de sport, dans les speedos, dans les slobs de toutes formes et de toutes matières : coton, Lycra, cuir…
Des slobs, j’en ai volé. Pour les sniffer, pisser et me branler dedans : pour joindre mon intimité à celle du possesseur du slob, une manière « magique » de mettre ma bite au contact de la sienne.
Le slob, c’est ce qui couvre, contient, cache… ET, à la fois, révèle, met en valeur !
C’est le vêtement qui est au plus près de l’intimité sexuelle : bite, couille gland, prépuce.
Préférences personnelles :
-
Le spectacle de la bite lovée dans la coquille du slob, qui épouse et montre la forme – et surtout l’ourlet ! – du glandos, la « ligne de gland » !
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Rien ne m’excite plus que de voir et sniffer un slob pisseux, qu’il le soit volontairement ou non.
-
Le bon vieux slob à poche (question de génération ?!…,) qui loge et contient la bite, s’imprègne de toutes les humeurs que celle-ci sécrète ; sueur, mouille, sperme, pisse. Ça se sniffe pendant des heures de branle, pour moi, le meilleur poppers qui soit."
Voila les frerot pour mon retour. Merci à Onaniste pour cette participation. On se retrouve bien vite pour de nous queues gonflés, pour de nouveau moment de ruuuute. J'te kisssss
c'est a Onaniste de me dire s'il veut que je te donne ses coordonnée ou toi Eric tu me dis si tu veux que je lui donne
J'ai essayé de te joindre sur les adresses que tu as laissées sur le blog, mais elles ne semblent pas ou plus être valables : courriers retournés.
Peux-tu laisser de nouvelles coordonnées utilisables ?
Merci.
Onaniste
vous me dite, je peux faire le liens entre vous deux
jepeux faire l'intermediaire sanssoucis
yes yessss
bravo pour ta description de pisturbeur....
La poche, c'est la tradition, putain j'adore ça