Le blog de accromasturbation

Salut à toi sturbeur, J'espère que ta queue va bien, qu'elle réclame toujours autant et que surtout tu lui donnes tout ce qu'elle attend. Des heures…
Lun 8 fév 2016 18 commentaires
Salut Onaniste et merci pour ta réponse rapide! J'ai l'impression que nous sommes le "dernier carré" d'accromasturbation.
Tu as raison, les anglophones sont bien plus gâtés que nous avec, entre autres, bateworld et onania, etc....
Pour les francophones, j'ai oublié de citer hier chezonan, mais je trouve c'est plus "technique" qu'érotique.
J'aimerais un site francophone équivalent de bateworld, où les masturbateurs de tout poil se retrouvent, quelque soient leurs goûts, leurs fantasmes (accromasturbation s'adresse surtout aux gays, qui aiment les poils, les prépuces... c'est assez sélectif dès le départ)ce qui réunirait les mecs sur ce site c'est leur passion pour la masturbation mais pas leurs goûts. Le côté très innovant de la passion pour la masturbation, c'est qu'elle abolit les frontières entre homos, hétéros, bis, etc... qui se retrouvent dans la passion pour leur queue.
Mon blog sur xhamster n'est encore que débutant et très bref, mais des commentaires et des contributions m'encourageraient!
l'obsédé - le 24/05/2016 à 11h36
Salut L'Obsédé !

C’est vrai qu’ici, du fait des préférences du propriétaire du blog, c’est prépuces et poils qui étaient privilégiés, et que c’est un peu limité. Quant à Chezonan, c’est effectivement plutôt technique, boyscout et même cucul-la-praline, donc chiant.

Je te rejoins aussi entièrement quand tu écris que « la passion pour la masturbation abolit les frontières entre homos, hétéros, bis, etc., qui se retrouvent dans la passion pour leur queue, même s’il me semble qu’on retrouve une majorité de gays parmi eux.

Les sites anglophones que je suis sont principalement Masturbator’s Sanctum et The Gooner Report.

Mais ici, il semble bien qu’on soit en effet le dernier carré. On visite la maison abandonnée, et on y laisse quelques traces de foutre…
Onaniste - le 26/05/2016 à 15h51
Putain ! Méchante crise de branle, tout d’un coup.
La queue encore molle. Mais les doigts qui s’affairent sur le paquet à travers le short, en instant vicieusement sur le frein.
En même temps, mouvements spasmodiques du périnée. Blocage de la respiration pendant que le rut monte.
La gueule commence de s’ouvrir, la langue de sortir.
Halètements en rythme avec les frottements.
La queue maintenant turgescente.
Les frottements sur le frein causent une légère brûlure, qui transmet vers le bas de la verge une jouissance qui rejoint celle du périnée contracté.
Le rut monte, atteint un palier : on arrête tout. Le système se calme un peu.
On reprend dès que ça redescend, pour se maintenir au palier, avant de continuer l’ascension.
Langue complètement sortie. Les halètements deviennent obscènes.
Les deux seins pointent. Caressés du bout des doigts, ils envoient des ondes de jouissance jusqu’à la bite et au périnée. Le triangle de la jouissance est en place.
On va voir combien de temps cela va durer…
Onaniste - le 20/06/2016 à 14h38
Salut tout le monde ,

Heureux de tomber sur un site francophone pour les accros de la branle longue durée...

Les weekends pluvieux, il m'arrive de me polir le manche sans gêne et sans retenue pendant tout un tour d'horloge... Autant d'heures de délices indescriptibles où aucune femme ne m'avait jamais mené...

Je m'abandonne complètement à mes instincts primaux, et laisser ceux-ci prendre le dessus.
Ils me font délirer tout haut, pousser des râles et des grognements, tirer la langue, adopter des postures grotesques...
Je dois avoir l'air d'un super-abruti, mais je planes dans un paradis de la bite où aucune femme ne m'a jamais mené et où très peu d'hommes osent s'aventurer...

Bref : c'est pour moi une évasion, mais aussi une célébration de ma bite, pendant laquelle je me sens terriblement "mec"...

J'encourage vivement tous les hommes qui me lisent à oser ce voyage dans ce genre de masturbation effrénée de plusieurs heures...
Arnaud - le 29/06/2016 à 05h59
Salut Arnaud,


oui, un site francophone, comme il ene existe de trop rares. Mais malheureusement peu actif, et dépendant de la disponibilité de son fondateur… Et qu’il faudrait qu’on continue de faire vivre en le visitant et en y contribuant régulièrement.

Tu décris très bien nos séances délirantes de sturbe.

À te lire, j’ai l’entrecuisse qui gonfle, le périnée qui chauffe, l’anus qui se décontracte, les seins qui bandent.

Pour moi la sturbe extrême est importante, parce que c’est à travers elle, à travers ces séances, que je m’approprie, que je me réapproprie enfin.

La sturbe est le meilleur remède à la castration (je veux évidemment parler de la castration symbolique dont parlent les freudiens).

Parce que mes organes sexuels sont à moi, que j’en ai l’entière possession. Et qu’ils sont là pour me donner des jouissances que rien ni personne d’autre ne pourrait me donner.

Grâce à la sturbe, j’ai une bite ! Et c’est MA bite !

Avec elle, je me branle, je pisse, je crache !

Mon chibre, ma queue, ma bitasse, mon glandos.

Je m’empoigne, je me secoue le chibre, je me branlasse comme une bête jusqu’à en crever, jusqu’à l’épuisement.

La bite devient le centre de mon corps, vers où converge et d’où irradie toute mon énergie, en direction de tous mes autres organes sexuels secondaires : mes couillasses, mon périnée, mon anus, mes seins.

Je me triangule, je me quadrangule : de la bite à l’anus via le périnée, je remonte jusqu’aux seins. Et je branle tout ça en même temps. Branle holistique.

Très vite les grimaces de la sturbe intense s’imposent, déforment mon visage. Langue tirée, gueule d’abruti. Poses et mimiques obscènes. Grotesques (comme tu le dis très bien) : mais seulement pour ceux qui ne pratiquent pas la sturbe intense et de longue durée.

Car ça peut durer du matin au soir. Avec ou sans interruptions. En branle molle ou en bandant à s’en faire péter le chibre. Avec ou sans instruments, cockrings, godes, fleshlight ou autres. Avec des râles, des halètements, des balbutiements infra-verbaux. En se godant ou non. En se giflant, en se punissant sévèrement la queue. En pissant ou non.

Dans un dérèglement complet de tout le système génital, qui prend le contrôle de tout le physique et de tout le mental.

À ce niveau-là, l’orgasme est important, mais il n’est que le point final d’une intensité égale à lui.

Au plaisir de continuer à échanger !
Onaniste - le 02/07/2016 à 17h23
Frères de branle,

je rêve d’un slip.

D’un slip de branle, évidemment.

Car je suis en train d’écouter une émission de radio. Mais en me branlant, évidemment. Et comme je ne suis pas tout à fait seul, je suis contraint à le faire sans sortir ma queue.

Donc branlage à travers le short, et dans le slip. Où je mets à profit la texture du tissu pour frotter ma bite. Et particulièrement le frein, qui est la source la plus intense de mes sensations biteuses.

Et là, je rêve donc d’un slip de branle qui permette un frottage et des sensations plus forts.

Un slip à poche, bien sûr, dans laquelle je puisse engager ma bite pour la frotter, et où elle puisse se déployer en cas d’érection, le glandos tout en haut, le frein dirigé vers l’extérieur, offert au frottement de la branle.

Mais un slip à poche perfectionné et amélioré, avec une zone de frottement plus aigu. Je pense qu’il faudrait que ce soit une sort de feuille de caoutchouc – bon pour la macération biteuse dans la pisse et la mouille – tapissant l’intérieur de la poche, et surtout recouverte de picots de caoutchouc qui augmentent le frottement.

J’enfile ce slip. J’installe ma queue dans le tube de la poche. Je passe mon short par-dessus. Et me voilà prêt pour une branle discrète et efficace. Je me décalotte le prépuce en tirant vers le bas la peau de la verge. Et cela a pour effet de tendre le frein, qui frotte contre les picots de caoutchouc. De l’index, je presse sur la zone de ce frein, en faisant vibrer le bout du doigt pour l’exciter. Les sensations se diffusent très vite le long de la bite, envahissent délicieusement le périnée et les couilles, et très vite réclament aussi la triangulation avec les seins.

Dans ce slip et cette poche de caoutchouc, je peux mouiller et même pisser à l’envi. Faire macérer ma queue branlée des heures si je le veux. Jusqu’à l’éventuelle jutée finale, que je pourrai conserver autant que je le voudrai.

Qu’en pensez-vous, frère branleurs ?
Onaniste - le 14/07/2016 à 12h02
Je vois qu'on parle peu de sperme sur le site...

Plus jeune, j'étais plutôt dégouté par le sperme. Mais devenu accro du zob et de la branle effrénée, j'ai peu-à-peu appris à apprécier le goût salé de mon sperme... J'aime désormais éjaculer dans un verre pour boire mon nectar en le savourant juste après...

Quant au précum, je lui trouve une odeur musquée super-affriolante, que j'aime étendre sur mes avants-bras pour le flairer...

Après un gooning de plusieurs heures, je suis dans un tel état que je ne recule plus devant rien, et mes séances se terminent régulièrement jambes en l'air, par une copieuse auto-éjac faciale...

De même, les mois d'été me permettent une autre de mes pratiques favorites : m'endormir englué de mon propre sperme.

En effet, les chaleurs de juillet / aout permettent de s'endormir allongé sur le lit par-DESSUS la couette. C'est l'occasion unique dans l'année de pouvoir m'éjaculer dessus et laisser le sperme s'engluer sur mon visage et dans tous les poils de mon corps, tout en me laissant lentement sombrer dans le sommeil en savourant mon orgasme....
Les autres mois de l'années, il faut toujours revenir à soi pour s'essuyer ou se doucher avant de se mettre sous la couette.

Allez les mecs ! osez votre propre jus d'homme !
Arnaud - le 16/07/2016 à 17h12
On parle tout de même un peu de sperme sur ce blog. Le contraire serait étonnant.

Voici le lien de la page :
http://accromasturbation.erog.fr/article-de-la-bonne-creme-121186396.html
Onaniste - le 18/07/2016 à 17h22